dimanche 30 novembre 2014

FIMAJE à ANTIBES : Jour II

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 De Bellis Multitudinis et Battlecry pour la seconde journée du FIMAJE





Battlecry est le premier jeu de Richard Borg.


 Son système d'activation par carte et ses dés spéciaux se retrouveront ensuite dans Mémoire 44 et la série des Command&Color "ancient" et "napoleonic".

 

On les retrouve aussi avec Battlelore et les Batailles de Westeros. Il a aussi inspiré le créateur de Tactique.

Chez JTI, nous remplaçons les blocs ou les fig plastiques par nos 15 ou 28 mm en plomb et résine.

Allez, fini le FIMAJE 2014 ! Vive le FIMAJE 2015 !)


 On se retrouve avant au FIJ !




Merci à tous ! Et surtout aux Trolls organisateurs !



samedi 29 novembre 2014

Ce week-end, nous sommes au FIMAJE !

 

Aujourd'hui, début des hostilités : 
André & les Autrichiens VS JBV & les Français pour la bataille d'Essling version "TACTIQUE". 

 

JB à préparé le scénario à partir de cette belle carte. Les Français tiennent le centre, entre les 2 zones d'habitations.

Les Autrichiens au premier plan

Les Autrichiens en gros plan
Les Français en gros plan



C'est au centre qu'André va lancer sa cavalerie contre l'artillerie française. JB choisira de maintenir ses canons et de faire feu sur les assaillants. André perdra ses cuirassiers mais finira par l'emporter prenant ainsi un ascendant sur son adversaire. 


Le centre vu depuis le côté français : la cavalerie autrichienne va emporter la batterie de gauche et obliger celle de droite au repli.
Lorsque j'ai déserté, les combats étaient âpres sur le flanc gauche des Français qui ne lâchaient rien.

Le centre a craqué, les Autrichiens tentent l'estocade sur leur flanc droit.

 

Dernière minute : les Français l'ont finalement emporté, d'une courte plaquette d'avance !














samedi 22 novembre 2014

Les gau...., les gau..., les Gaulois !!!

Entrée (fracassante !) des Gaulois dans les statistiques des armées DBM jouées à JTI durant l'année 2014 !

En consultant nos statistiques sur les armées qui sont sorties sur les tables du club en 2014,
j'ai constaté que toutes mes armées historiques avaient participé aux hostilités
à l'exception de mes Gaulois qui étaient restés bien sagement à la maison.

 Les fiers guerriers Gaulois


Cette état de fait ne correspondant pas à leur tempérament fougueux,
ils sont venus augmenter leur taux de présence
(au grand malheur de leurs adversaires Romains du jour).

Les deux généraux Nikolus et Paolus,
très rarement confrontés à un tel adversaire,
allaient commettre la pire des erreurs face à une armée gauloise :
accepter le combat frontal !


  L'allié Sarmate,
 courageusement exposé en première ligne par les généraux romains.


Cette stratégie aurait pu fonctionner avec une armée Galate (warband supèrieure)
ou indienne (vous avez dit "Eléphant supérieur" ? ),
mais pas avec une armée romaine,
qui aurait eu avantage à la jouer plus en finesse et en manoeuvre.

 Vue d'ensemble des 2 armées au déploiement


Nos chers Gaulois vont donc se contenter d'avancer droit devant eux en écrasant leurs opposants
(leur tactique préférée depuis Astérix et Obélix)...

Brenus peut-être satisfait de ses troupes,

VAE VICTIS !


PS:
A noter que ce même soir au club,
G et Fifi ont réussi à enchaîner (sous l'oeil attentif de mister V ),
plusieurs parties de guerre de sécession
sur une règle "à la mémoire 44".

mercredi 19 novembre 2014

DBM à JTI

Vendredi dernier Paolo et Maurinator ont réussi à jouer une partie de DBM au club
avec une armée de prêt (Les sassanides de Nanardus).
Mais nous n'en parlerons pas davantage car aucun écho de la bataille n'est parvenu jusqu'à nous,
pas même le nom du vainqueur.  :-(

Par contre, nous disposons de photos de la partie précédente où Romains et Sassanides
s'étaient affrontés dans une partie bizarre qui s'était terminée sur un match nul.

En voici quelques-unes :

 La cavalerie sassanide en approche



 Un éléphant sassanide abandonné face à la cavalerie romaine 
sur l'aile gauche des barbares.


 Le chroniqueur sassanide David Hamiltoneuh
nous offre une vue artistique de ses petits camarades.

Du même auteur (et en hauteur):
l'aile droite sassa se faisant prendre de flanc par les légions.





dimanche 16 novembre 2014

La bataille d'Essling / Aspern vue par l'autre camp



Voici le compte-rendu pour la Bataille d'Essling décrite par l'autre camp :



Pour nous remettre à Tactique et pour préparer le FIMAJE, nous avons
joué la bataille d'ESSLING/ASPERN (1809). André avait préparé la table
et la composition des armées mais non leur placement. J'ai donc essayé
de me placer selon mes souvenirs. Les autrichiens ont une armée
nettement plus nombreuse que celle des français mais ceux-ci ont le
double avantage d'une meilleure qualité de troupes (les autrichiens ont
4 unités de milice) et d'une position centrale bien regroupée autour des
villages de Essling et Aspern. Au contraire, les autrichiens sont non
seulement très étalés mais avec le gros de leurs troupes aux ailes, ce
qui fatalement leur pose des problèmes de commandement, ainsi que de
supériorité locale. En revanche, ils peuvent user les français sous
réserve de ne pas encaisser trop de pertes. Les 2 villages valent chacun
1 point de perte. Les français démoralisent à 7, les autrichiens à 10
mais c'est donc ramené à 8 tant que les français tiennent les villages.



Au déploiement nous avions donc côté français 2 groupes d’infanterie
(correspondant aux corps de Lannes et Massena) autour de chacun des 2
villages. Au centre, on trouvait surtout de la cavalerie. Mais les
artilleries des flancs étaient disposées pour battre le centre et les
lourds étaient tous des cuirassiers. Côté autrichiens nous avions une
aile droite d'infanterie puis un groupe d'infanterie, un groupe de
cavalerie légère au centre appuyé par une brigade cavalerie lourde et
une brigade d'infanterie. Vers l'aile gauche, un groupe de cavalerie
précédait une grosse division d'infanterie. Ainsi, le combat aurait dû
se dérouler aux ailes mais c'est au centre que tout se joua.



Au premier tour, j'avançais mon artillerie (au centre surtout) et une
brigade d'infanterie à gauche. A partir de là, les ailes ne jouèrent
plus car André lança une attaque de cavalerie contre mon centre. Il
détruisit une cavalerie légère en 1 coup et menaça mon artillerie à
cheval qui dût reculer. Ma cavalerie contre-attaqua, la légère
enveloppant les cavaliers ennemis et la lourde les prenant de face.



Mes cuirassiers détruisirent (en 1 coup aussi) les lourds de la Garde tandis
que mon artillerie légère attaquait en vain une légère et se faisait
détruire sur la riposte. Une autre unité de cuirassiers français
perdit 1 plaquette et la cavalerie française put reculer un peu. Je
perdis une cavalerie légère par l'artillerie et André encaissa beaucoup
de lettres d'ordre.



A ce moment, si la cavalerie lourde autrichienne
avait reculé sur ses positions initiales, le sort de la bataille eût été
différent. Mais l'archiduc Charles est un général vaillant, parfois
téméraire. Il pensait avoir une (petite) chance de percer le centre
français et n'avait pas vu que Lannes rassemblait ses aides de camp pour
porter ses ordres. La cavalerie lourde chargea son homologue, soutenue
par une brigade d'infanterie. Ça aurait pu faire mal mais André refusa
le combat, il replia sur ordre sa cavalerie, laissant mes troupes à la
merci de ses canons et du retour de ses cavaliers. 2 tours plus tard,
j'avais perdu toute ma cavalerie au centre et 2 unités d'infanterie.



Le reste ne fut plus que péripétie. André allait se précipiter dans mon
centre ouvert sur une malheureuse unité de landwehr réduite à 2
plaquettes et isolée. Je préférais faire une charge Banzaï de ma
deuxième division de cavalerie sur l’artillerie à gauche d'Essling. Il
se replia mais ne me fit pas de pertes. Il avança simplement son
infanterie. J'attaquais à nouveau, fit reculer son artillerie, la suivit
et la détruisit. Alors sa cavalerie rameutée arriva et détruisit mes
dragons. Démoralisée, l'armée autrichienne quitta le champ de bataille.
Victoire 8 à 3.



Une belle partie cependant, tout à fait originale dans son déroulé. Nous
verrons la prochaine fois.

JB

samedi 8 novembre 2014

vendredi à JTI


Ce vendredi soir au club, 3 tables de jeu :

Une partie de DBM, destinée à l'entraînement. La
partie s'est terminée d'un commun accord compte-tenu de l'heure.

Du Mémoire 44 :
2 parties avec une victoire chacun.

Une partie de tactique sur la bataille d'Esling. La partie a été gagnée
par les français d'André 8 à 3. Curieusement, ça a été essentiellement
une bataille de cavalerie et d'artillerie (voir ci-dessous).



Aspern-Essling:
Les Autrichiens sont beaucoup plus nombreux et tiennent les hauteurs.
Les Français tiennent Aspern et Essling qui comptent pour 1 point de démoralisation chacune.
Les Autrichiens démoralisent à 10, les Français à 7.



Photo n°1: Ca y est les armées sont prêtes à s'affronter.



Photo n°2: JB se lance dans les premières manoeuvres.





Photo n°3: Vue du côté Autrichien, vous remarquerez que j'ai sorti mon arme secrète en bout de table (les bibinnes) de façon à mettre toutes les chances de mon côté.



Photo N°4: Les Français sont prêts à en découdre (voir le niveau de la bibinne en bout de table).


Photo N°5: Et oui ce fut un massacre .


Photo N°6: Dernière charge de cavalerie désespérée des Autrichiens, grace à laquelle ils élimineront une batterie d'artillerie pour sauver l'honneur.
Les Français ont gagnés 10 à 3.
Merci JB pour ce super moment JTI et à bientôt au FIMAJE pour la revanche.
André