Dernier vendredi avant Noël à JTI

Ce vendredi, 8 joueurs pour 3 tables différentes à Jeux Tu Il :

Une table de command & colors napo,
où André et Fifi se sont affrontés plusieurs fois sous le regard de notre président.

une table d'initiation à  warmachine
où  Paolo (l'élève) a remporté la victoire sur Sylvain (le maître).

une table de DBM 250 où les Perses Sassanides,
commandés par Marco et Nanardus,
ont fini par battre la magnifique armée de Romains Patriciens dirigée par  Niko
après une bataille longtemps indécise.

Marco manquera d'ailleurs la conclusion
en partant 10 minutes avant la fin de la partie
et n'assistera pas à la déroute des légionnaires.

Une soirée somme toute assez classique
puisque ces 3 règles sont les 3 règles dominantes au club depuis pas mal de temps.

Nanardus


 Ci-dessous, un compte-rendu plus détaillé de ce qui s'est déroulé sur la table C&C napo :

« Ce soir avec André nous avons décidé de jouer du C&C Napoléonien et notre choix s’est porté sur un scénario paru dans la toute nouvelle extension sur l’Armée Prussienne : SCHLEIZ le 9 octobre 1806.

1^ère partie André joue le Prussien, je joue le Français, victoire d’André net et sans bavure 5-1

2^ème partie On inverse les rôles je pense l’emporter mais André me coiffe sur le fil 5-4

Ayant rapidement conclu ces 2 batailles, nous remettons ça et toujours le même scénario

3^ème partie Je conserve les Prussiens et enfin je parviens à m’imposer 5-2

4^ème partie André avec les Prussiens commet quelques erreurs qui lui sont plutôt inhabituelles 

et il s’incline à nouveau 5-3

Résultat parfaitement égal au termes de la soirée, 

2 victoires chacun et remportées sur le même score de 10-5.

J’ai enfin mis un terme à une série de défaites contre André 

qui reste de loin le Maître en matière de C&C N.

Fifi »

FOW is back

C'est avec une certaine émotion que samedi nous avons ressorti le jeu après 3 ans d'hibernation
pour un dépoussiérage de la règle ... et des figurines.
Pour nous remettre en condition, nous avons opté pour le "free for all",
scénario simple qui nous a permis de faire un match aller- retour.

1 ère partie

Compagnie blindée anglaise contre infanterie allemande
La vitesse et donc l'initiative appartiennent aux britanniques, le Brigadier O'Vaikintoch tente une prise en tenaille en saturant les flancs Allemands avec une charge de Cromwell sous une couverture puissante composée de Firefly et autres chasseurs de chars. Mais c'est sans connaître la rigueur de l'Oberstleutnant Von Olivert qui méthodiquement réduit au silence les chars Anglais grâce à son fer de lance : le Tigre. Une victoire allemande sans appel. (6-1)

2e partie

Compagnie d'infanterie anglaise contre infanterie allemande
Là où l'anglais va perdre en vitesse, il va le remplacer par un retour de son flegme bien connu.
Gardant l'initiative, il combine progression chars-infanteries sur deux fronts
et bombardement tous azimuts avec un melting-pot artillerie-mortier-aviation.
Si la discipline est l'atout  des allemands et que la résistance occasionne de lourdes pertes chez le britannique, lentement mais inexorablement l'armée teutonne se laisse déborder et finit par abandonner le terrain.
Victoire bien méritée mais dans les larmes et le sang pour l'Anglais. (4-3)

Bilan: on a joué avec la V2 (sachant qu'on n'a pas eu l'occasion d'aborder la V3 qui existe depuis 3ans). Comme le vélo, les réflexes sont revenus très rapidement et finalement on n'a pas perdu de temps à potasser la règle.
A noter que pour le coup elle n'a pas pris une ride et c'est toujours un plaisir d'y jouer.

El Aroun

Un vendredi à Jeux tu il

4 tables de jeu ce vendredi soir au club.

Une table C&C Napo où André initiait Olivier aux arcanes de ce jeu.
Il a gagné les 2 parties mais la première (avec les français) de justesse.

les Gaulois

les Romains

Une table DBM où les gaulois de Nanardus ont laminé les romains de Paolo.

Une table Warmachordes où Simon a initié un ami de Sylvain.

vue éloignée

Enfin, une table navale Empire où nous avons testé mon adaptation rapide de WSIM.
Elle tourne bien et est assez rapide.

vue rapprochée

A retester rapidement.    :-)

JB

Gaulois...GO HOME !!!

DBM 250:
Les fiers Gaulois, encore auréolés de leur récente victoire sur les romains,
ont tenté d'envahir l'empire Abasside ce vendredi soir.

Les lignes gauloises sont percées

sous le regard impuissant de leur chef (au premier plan)

Mal leur en a pris, l'armée arabe commandée par mon compère El Aroun
(dont j'aurais dû me douter qu'il allait se révéler un adversaire dangereux
à la tête de cette armée rien qu'en voyant son pseudo ;-) )
allait leur infliger une cuisante défaite.

 Vue d'ensemble de la bataille

Malgré une stratégie que je qualifierai d'un peu trop directe (mais bien pensée quand même),
basée, en partie, sur l'engagement de tous les généraux arabes sur une zone réduite du front,
les Abassides allaient réussir à battre les Gaulois (certainement peu habitués au climat désertique :-) )
à leur propre jeu et détruiront les 2 corps du centre (dont les fameux gaesatis !)
mettant en déroute mon armée
(et, accessoirement, relançant ma motivation pour terminer ma propre armée Abasside  ;-) ).

L'élite de l'armée Gauloise

(en petite tenue pour supporter la chaleur)

face à l'élite de l'armée Abasside

Bravo à El Aroun !

Nanardus


Il y avait également 2 autres tables le même soir au club:

Une table de Mémoire 44 sur la Bataille des Ardennes. Nous avons joué à
3, opposés 2 à 2 avec alternativement les allemands et les américains.
Phiphi a gagné ses 2 parties. J'en ai gagné 1 et André a perdu les 2
siennes, trahi par les cartes. Il a eu plein de cartes pour jouer au
centre avec les allemands qui n'y avaient qu'une unité mais plus du tout
quand il a joué américains qui y avaient quasiment toute leur armée.

la table test d' Impétus

Une table de "Impetus" où Paolo et Laurent ont testé la règle en se
partageant une seule armée. Idéal pour bien tester mais assez curieux à
voir. Je ne sais pas qui a gagné mais je pense que ce sont des romains.  ;-)

JB

FIMAJE à ANTIBES : Jour II

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 De Bellis Multitudinis et Battlecry pour la seconde journée du FIMAJE

 

Battlecry est le premier jeu de Richard Borg.

 Son système d'activation par carte et ses dés spéciaux se retrouveront ensuite dans Mémoire 44 et la série des Command&Color "ancient" et "napoleonic".

 

On les retrouve aussi avec Battlelore et les Batailles de Westeros. Il a aussi inspiré le créateur de Tactique.

Chez JTI, nous remplaçons les blocs ou les fig plastiques par nos 15 ou 28 mm en plomb et résine.

Allez, fini le FIMAJE 2014 ! Vive le FIMAJE 2015 !)

 On se retrouve avant au FIJ !

Merci à tous ! Et surtout aux Trolls organisateurs !

http://lacompagniedestrolls.jimdo.com/ 

Ce week-end, nous sommes au FIMAJE !

 

Aujourd'hui, début des hostilités : 

André & les Autrichiens VS JBV & les Français pour la bataille d'Essling version "TACTIQUE". 

 

JB à préparé le scénario à partir de cette belle carte. Les Français tiennent le centre, entre les 2 zones d'habitations.

Les Autrichiens au premier plan

Les Autrichiens en gros plan

Les Français en gros plan

C'est au centre qu'André va lancer sa cavalerie contre l'artillerie française. JB choisira de maintenir ses canons et de faire feu sur les assaillants. André perdra ses cuirassiers mais finira par l'emporter prenant ainsi un ascendant sur son adversaire. 

Le centre vu depuis le côté français : la cavalerie autrichienne va emporter la batterie de gauche et obliger celle de droite au repli.

Lorsque j'ai déserté, les combats étaient âpres sur le flanc gauche des Français qui ne lâchaient rien.

Le centre a craqué, les Autrichiens tentent l'estocade sur leur flanc droit.

 

Dernière minute : les Français l'ont finalement emporté, d'une courte plaquette d'avance !

Les gau...., les gau..., les Gaulois !!!

Entrée (fracassante !) des Gaulois dans les statistiques des armées DBM jouées à JTI durant l'année 2014 !

En consultant nos statistiques sur les armées qui sont sorties sur les tables du club en 2014,
j'ai constaté que toutes mes armées historiques avaient participé aux hostilités
à l'exception de mes Gaulois qui étaient restés bien sagement à la maison.

 Les fiers guerriers Gaulois

Cette état de fait ne correspondant pas à leur tempérament fougueux,
ils sont venus augmenter leur taux de présence
(au grand malheur de leurs adversaires Romains du jour).

Les deux généraux Nikolus et Paolus,
très rarement confrontés à un tel adversaire,
allaient commettre la pire des erreurs face à une armée gauloise :
accepter le combat frontal !

  L'allié Sarmate,

 courageusement exposé en première ligne par les généraux romains.

Cette stratégie aurait pu fonctionner avec une armée Galate (warband supèrieure)
ou indienne (vous avez dit "Eléphant supérieur" ? ),
mais pas avec une armée romaine,
qui aurait eu avantage à la jouer plus en finesse et en manoeuvre.

 Vue d'ensemble des 2 armées au déploiement

Nos chers Gaulois vont donc se contenter d'avancer droit devant eux en écrasant leurs opposants
(leur tactique préférée depuis Astérix et Obélix)...

Brenus peut-être satisfait de ses troupes,

VAE VICTIS !


PS:
A noter que ce même soir au club,
G et Fifi ont réussi à enchaîner (sous l'oeil attentif de mister V ),
plusieurs parties de guerre de sécession
sur une règle "à la mémoire 44".

DBM à JTI

Vendredi dernier Paolo et Maurinator ont réussi à jouer une partie de DBM au club
avec une armée de prêt (Les sassanides de Nanardus).
Mais nous n'en parlerons pas davantage car aucun écho de la bataille n'est parvenu jusqu'à nous,
pas même le nom du vainqueur.  :-(

Par contre, nous disposons de photos de la partie précédente où Romains et Sassanides
s'étaient affrontés dans une partie bizarre qui s'était terminée sur un match nul.

En voici quelques-unes :

 La cavalerie sassanide en approche

 Un éléphant sassanide abandonné face à la cavalerie romaine 

sur l'aile gauche des barbares.

 Le chroniqueur sassanide David Hamiltoneuh

nous offre une vue artistique de ses petits camarades.

Du même auteur (et en hauteur):

l'aile droite sassa se faisant prendre de flanc par les légions.

La bataille d'Essling / Aspern vue par l'autre camp

Voici le compte-rendu pour la Bataille d'Essling décrite par l'autre camp :

Pour nous remettre à Tactique et pour préparer le FIMAJE, nous avons
joué la bataille d'ESSLING/ASPERN (1809). André avait préparé la table
et la composition des armées mais non leur placement. J'ai donc essayé
de me placer selon mes souvenirs. Les autrichiens ont une armée
nettement plus nombreuse que celle des français mais ceux-ci ont le
double avantage d'une meilleure qualité de troupes (les autrichiens ont
4 unités de milice) et d'une position centrale bien regroupée autour des
villages de Essling et Aspern. Au contraire, les autrichiens sont non
seulement très étalés mais avec le gros de leurs troupes aux ailes, ce
qui fatalement leur pose des problèmes de commandement, ainsi que de
supériorité locale. En revanche, ils peuvent user les français sous
réserve de ne pas encaisser trop de pertes. Les 2 villages valent chacun
1 point de perte. Les français démoralisent à 7, les autrichiens à 10
mais c'est donc ramené à 8 tant que les français tiennent les villages.

Au déploiement nous avions donc côté français 2 groupes d’infanterie
(correspondant aux corps de Lannes et Massena) autour de chacun des 2
villages. Au centre, on trouvait surtout de la cavalerie. Mais les
artilleries des flancs étaient disposées pour battre le centre et les
lourds étaient tous des cuirassiers. Côté autrichiens nous avions une
aile droite d'infanterie puis un groupe d'infanterie, un groupe de
cavalerie légère au centre appuyé par une brigade cavalerie lourde et
une brigade d'infanterie. Vers l'aile gauche, un groupe de cavalerie
précédait une grosse division d'infanterie. Ainsi, le combat aurait dû
se dérouler aux ailes mais c'est au centre que tout se joua.

Au premier tour, j'avançais mon artillerie (au centre surtout) et une
brigade d'infanterie à gauche. A partir de là, les ailes ne jouèrent
plus car André lança une attaque de cavalerie contre mon centre. Il
détruisit une cavalerie légère en 1 coup et menaça mon artillerie à
cheval qui dût reculer. Ma cavalerie contre-attaqua, la légère
enveloppant les cavaliers ennemis et la lourde les prenant de face.

Mes cuirassiers détruisirent (en 1 coup aussi) les lourds de la Garde tandis
que mon artillerie légère attaquait en vain une légère et se faisait
détruire sur la riposte. Une autre unité de cuirassiers français
perdit 1 plaquette et la cavalerie française put reculer un peu. Je
perdis une cavalerie légère par l'artillerie et André encaissa beaucoup
de lettres d'ordre.

A ce moment, si la cavalerie lourde autrichienne
avait reculé sur ses positions initiales, le sort de la bataille eût été
différent. Mais l'archiduc Charles est un général vaillant, parfois
téméraire. Il pensait avoir une (petite) chance de percer le centre
français et n'avait pas vu que Lannes rassemblait ses aides de camp pour
porter ses ordres. La cavalerie lourde chargea son homologue, soutenue
par une brigade d'infanterie. Ça aurait pu faire mal mais André refusa
le combat, il replia sur ordre sa cavalerie, laissant mes troupes à la
merci de ses canons et du retour de ses cavaliers. 2 tours plus tard,
j'avais perdu toute ma cavalerie au centre et 2 unités d'infanterie.

Le reste ne fut plus que péripétie. André allait se précipiter dans mon
centre ouvert sur une malheureuse unité de landwehr réduite à 2
plaquettes et isolée. Je préférais faire une charge Banzaï de ma
deuxième division de cavalerie sur l’artillerie à gauche d'Essling. Il
se replia mais ne me fit pas de pertes. Il avança simplement son
infanterie. J'attaquais à nouveau, fit reculer son artillerie, la suivit
et la détruisit. Alors sa cavalerie rameutée arriva et détruisit mes
dragons. Démoralisée, l'armée autrichienne quitta le champ de bataille.
Victoire 8 à 3.

Une belle partie cependant, tout à fait originale dans son déroulé. Nous
verrons la prochaine fois.

JB