dimanche 27 juin 2010

Blood Bowl Day à JTI

LE CLUB JEUX-TU-IL ORGANISE

LE 4 JUILLET 2010

De 10h00 à 18h00

UNE JOURNEE ENTIERE DE


PARTIES LIBRES, TOURNOI INDIVIDUEL ET CHALLENGE INTER-CLUBS

INITIATION POSSIBLE



A L’école de la Gare N°2

Allée Pasteur

06700 ST LAURENT DU VAR


Contact : bbdayjti@yahoo.fr



samedi 26 juin 2010

Des bleus à FOW pas au Cap.

les panzer grenadiers attendant fourbement les anglais

Ce vendredi JTI a accueilli un nouveau joueur qui voulait se frotter à Flames Of War.
Jéronimov a pris en charge l'initiation en montant 2 armées Late War une compagnie de la Garde soviétique contre une compagnie de pionniers allemands. Ainsi Steven bien connu des amateurs niçois de jeu et son padawan ont choisi les pionniers allemands, soutenus par 1 TigerIE et 3 Stug III G; Jéronimov gardant sa célèbre compagnie de la Garde fantassins renforcés de pionniers et 3 IS2.
Jéronimov faisant un cours accéléré de FOW

Les autres tables ont vu s'affronter dans l'ordre:
une compagnie de la 7e Armored Div de Lord Krystian face à une compagnie de teutons truffés au Panzerfaust de notre bien aimé Président: Francky fox.Enfin la dernière: Von Musson voulant tester une liste lança un défi à Panzergg.Ce fut donc 3e SS Pz contre 50e Inf Division.

Les britanniques prêts à se ruer vers l'ennemi

Lors du placement je compris que Von Musson voulait tester du gros: 1 batterie de Hummel et 1 compagnie de Sturmtiger particulièrement indigeste.

La partie fut particulièrement acharnée, les 2 armées se rendant coup pour coup. Les britanniques profitant de leur rapidité pour envoyer les Bren carriers armés de cal 50 sur les Hummel, Marder et autres Grille qui trainaient et les Cromwell s'attaquant aux PanzerIV ennemis. Les allemands bombardaient et écrasaient sous leurs tirs plusieurs unités alliées.

Un croco victime d'un Sturmtiger

Fin de partie par une victoire à l'arraché des anglais qui ayant tué le chef de compagnie allemand voyait celui ci rendre les armes après la perte de sa 4e section.
Pour le Lord et Francky la partie fut épique; Francky gagnant plus difficilement que prévu.

Quant au d"butant je pense que l'initiation lui a plu et qu'il reviendra bientôt.

avant

après

Attention prochainement au club:
soirée Napo le 2/07 ...
...et pour fêter le 4 juillet un grand tournoi Blood Bowl avec la participation des clubs de Mouans Sartoux, de Menton et de Nice...
Des précisions bientôt.

PanzerGG

jeudi 24 juin 2010

Nanardus contre Giloux qui va gagner?


... Sur mon aile gauche, dans la plaine, les sarmates impétueux et les légionnaires romains vont se précipiter à la rencontre des chevaliers et des cavaliers légers de Gilles.
Vu la violence prévisible des combats dans cette zone, nous avons tous les deux fait le choix d'engager nos généraux dans la ligne de bataille car nous pensons que le surplus de puissance apporté par leur présence sera décisif. Nous sommes conscient que cela peut se retourner contre nous mais, si l'un décidait de laisser ses généraux en retrait alors que son adversaire engageait les siens, il réduirait de manière significative ses chances de victoire sur cette partie de la table. Nous prenons donc le risque...Gilles en paiera le prix !
Dès le premier engagement, son général LH(S), spécialiste de la destruction des chevaliers adverses, va se faire détruire par un...chevalier !Précisons, à sa décharge, que les autres cavaliers légers qui l'accompagnaient avaient reculé le laissant dans une situation difficile.
C'est le premier coup dur pour Gilles mais il n'a pas de conséquence immédiate, le corps de ce général ne représente que 3 éléments et il n'est pas démoralisé ! Les deux cavaliers survivants continueront à se battre, espérant se racheter de leur comportement initial. ;-)

La mêlée se poursuit donc, les pertes s'accumulant dans les deux camps, jusqu'à ce que Gilles réussisse à engager un de mes généraux romains CV(O) avec un des siens ( général KN(F) ) en le prenant également de flanc. Je me bats donc avec un facteur de combat très inférieur au sien et, de plus, je serai détruit sur un simple recul car je suis pris de flanc. Autant dire que mes chances sont très réduites.
Je sais que la perte de mon général n'aura peut-être pas de conséquence instantanée car il commande un petit corps qui devrait survivre à sa disparition.
Par contre, le trou ouvert dans ma ligne de bataille par mon adversaire va devenir un gouffre car me n'ai plus de réserves ce qui va permettre à ses troupes de détruire le reste de mon armée sans problème.
Il faut donc survivre à ce combat pour ne pas perdre la bataille, je suis tendu mais mon adversaire également car il sait qu'à DBM rien n'est jamais sûr ( c'est là un des charmes de cette règle ) et qu'il ne faut pas "foirer les dés".
C'est là que le destin va intervenir en ma faveur, je vais réussir à repousser mon adversaire !
Comme c'est à moi de jouer, un de mes tirailleurs ( psiloï (O) ), qui appuyait mes légions, va prendre de flanc le général de Gilles tandis que mon général victorieux le réengage de face.
La chance étant toujours avec moi, je vais éliminer le général de mon adversaire, ceci démoralisera son (gros) corps de chevaliers et sauvera mon armée d'une défaite probable !!! Voilà ce qui s'appelle un retournement de situation !
Pendant ce temps, sur l'aile droite romaine, le corps d'auxiliaires va attaquer les broussailles tout en profitant d'un léger surnombre pour déborder le flanc "Arthurien" avec ses cavaliers numides (espérant obliger Gilles à choisir entre ne pas couvrir son flanc ou prendre le risque d'exposer son général).
Les combats auxiliaires contre auxiliaires ne vont rien donner sauf à l'extrême droite où je réussirai à les prendre de flanc, mon adversaire ayant prudemment gardé son général en retrait. Je commence donc à grignoter le corps d'infanterie de Gilles, j'ai bon espoir de faire la décision même si cela risque de prendre du temps.
Mais voilà, à DBM des petites situations tactiques mal gérées peuvent compromettre une situation stratégique bien engagée.
( C'est d'ailleurs, là encore, un des points forts de cette règle: vous ne pouvez pas laisser le système "jouer pour vous", il faut rester attentif à chaque stade du jeu, même si tous vos corps ont effectué leurs mouvements stratégiques et qu'ils sont engagés sur toute la table vous devez surveiller chaque mouvement individuel car le jeu peut encore basculer, comme votre adversaire en a conscience lui aussi, il reste également concentré même lorsque la situation est mal engagée pour lui ! A DBM, rien n'est jamais joué ! )
Suite à un enchaînement de reculs que je n'avais pas bien anticipés, mon général auxiliaire va se retrouver dans une position de recul impossible si quelqu'un venait l'engager au combat.
C'est le moment qu'attendait le général adverse !
Voyant l'opportunité d'enrayer mon offensive victorieuse sur cette aile en décapitant mon commandement, il va attaquer mon général, prenant le risque de se faire éliminer lui-aussi si les choses ne se passaient pas en sa faveur.

Cette fois-ci, le destin va accorder ses faveurs à Gilles et mon corps de droite va perdre son général, ralentissant ses mouvements et l'empêchant de profiter de l'avantage pris sur cette aile.
( A DBM quand un général est détruit il faut un point de commandement supplémentaire pour faire bouger un groupe, or nous ne disposons que d'un D4 points de commandement par corps en DBM 250...autant dire que je ne commande plus grand chose sur mon aile droite ! )

Heureusement, le corps n'est pas démoralisé et la bataille va continuer ce qui m'arrange bien.

Nous sommes comme deux boxeurs qui ne bougent presque plus mais continuent à se cogner à tour de rôle, mais des deux je suis celui qui a le moins souffert, je n'ai perdu que le corps de sarmates ( 5 éléments ) et quelques autres éléments dans le reste de l'armée, alors qu' "Arthur" a perdu un gros corps et de nombreux éléments sur le reste de la table.
Comme je l'espérais, l'armée arthurienne va finir par atteindre le seuil de démo...le romain est déclaré vainqueur par KO !

Tous les généraux ont étés engagé, 4 d'entre-eux ont été détruits, 2 des survivants ont survécu à une prise de flanc.
Toutes les réserves ont été utilisées.
On peut dire qu'il y a eu de l'action dans cette partie !

Nanardus Victorius

mercredi 23 juin 2010

DBM à JTI c'est le samedi

Suite du précédent épisode...
Pendant ce temps, sur la seconde table, j'affrontais, une fois de plus, l'armée "Arthurienne" de Gilles.Je lui opposais des romains (liste Early impérial roman, vous savez, ceux qui ont de magnifiques boucliers rectangulaires, comme dans Astérix...) avec un allié Sarmate (des fous furieux combattant en chargeant à la lance, en armure complète sur des chevaux caparaçonnés)
pour donner un peu de punch à cette armée un peu trop défensive sans cela.

La bataille allait se dérouler sur deux types de terrains;Tout d'abord, une plaine bien dégagée sur mon aile gauche où j'allais déployer mes fameux sarmates ( irréguliers KN(F) ) et mes légionnaires en rangs serrés soutenus par des archers ( PS(O) )qui pourraient envoyer des flèches par dessus leurs rangs.


Face à eux, Gilles disposera l'ensemble de ses chevaliers ( reg KN(F) ) et son allié cavaliers légers (LH(S)) qui avait joué un rôle décisif lors de notre précédente partie.

Ensuite, sur mon aile droite, occupée par du terrain broussailleux, nous placerons tous les deux nos auxiliaires de manière assez logique.
Mon adversaire y disposera également son infanterie lourde qui empêchera mes auxiliaires de déboucher de l'autre côté des terrains.
Sur l'extrème droite de mon dispositif, dans une partie dégagée, mes cavaliers légers numides ( irr LH(O) ) tenteront de déborder le flanc du corps gauche de Gilles.
Ma cavalerie romaine ( CV(O) ) sera placée à la jonction de ces 2 zones soit pour combattre les chevaliers dans la plaine, soit pour bloquer la sortie des broussailles au cas où les auxiliaires de Gilles prendraient l'avantage sur les miens.Ils n'auront pas le temps de chômer durant la partie car ils devront finalement accomplir les deux tâches à la fois !( Subissant des pertes sévères face aux chevaliers ).

Nanardus Maximus

dimanche 20 juin 2010

Encore des photos...de Roquebrune

L'infanterie britannique à l'attaque.

Quelques photos de plus du tournoi de Roquebrune, une façon aussi de montrer notre solidarité avec les varois.

Panzer III de la Herman Goering Division.

Assaut de T34/85 qui se passe mal.

La 7e Division blindée britannique prête au combat

Bazinski et Ruscoff en pleine discussion sur les mérites du canon de 88 dans la steppe.

Une batterie de 150 allemande prête à stopper l'ennemi.

Des T34/85 en promenade en ville.






mercredi 16 juin 2010

Roquebrune ou les tribulations des JTistes

la salle du CHETOM
Notre président rendant grâce à Mars pour sa victoire en terre varoise.
Ce dimanche, 7 Jtistes se levèrent à l'aube pour partir guerroyer dans les terres varoises voisines.
Arrivée sur les lieux, près du Camp militaire Lecoq qui abrite le musée des troupes de marine, nous découvrons une salle magnifique cadre du tournoi organisé par nos amis roquebrunois.
Nous voilà en piste pour une journée d'affrontements épiques mais courtois et toujours ponctués de rires, comme quoi tournoi et franche rigolade peuvent se marier.Les arbitres: sérieux et concentrés devant leur écran.
Sur ce en fin d'après midi se dessinait une victoire JTiste mais lequel serait le bon: Vaïk et sa redoutable cavalerie légère de la 7e Division blindée britannique, Les paras US de Francky fox ou les blindés de Von Musson de la Herman Goering Division.
Cette dernière partie sera la bonne pour notre président Francky qui remporte de belle manière ce tournoi, devant un autre JTI Olivier.les JTistes reconnaissant rendent hommage à leur président qui leur montre la voie de la victoire.

A noter que Jéronimov qui avait délaissé ses IS II pour des grenadiers allemands a remporté son premier trophée: la cuillère de bois.Jéronimov et son trophée.
Bref une journée magnifique, dans une ambiance superbe et de nouvelles rencontres...
Le podium: 1er Francky, 2nd: Olivier, 3e Fred d'Aubagne

Nous serons là l'année prochaine, comptez-y!!!!
Panzergg

lundi 14 juin 2010

Tournoi du CFVE Frejus le 13 juin 2010

La récompense de toute une vie !!!
Franck Pollet l'a fait ! Il a enfin gagné un tournoi ! 2010, année faste pour ce vétéran qui a aussi raflé en janvier la Présidence du club JTI suite au putsch traditionnel de notre célèbre assemblée générale... Et quel meilleur lieu pour cet exploit que le Musée des Troupes de Marine de Fréjus ou nous fûmes superbement accueillis par le club CFVE de Roquebrune dont nous devons saluer la gentillesse et le talent pour organiser une aussi belle manifestation (Bravo Messieurs !) ?

JTI était venu en force (7 joueurs : Francky el Presidente, Jeronimo, Butcher Alex, Captain Musson, Vaïk l'empaleur, G Guevara et Bazinski sur 18 participants) et jouait en équipe pour assurer un résultat honorable...

Les JTistes magouillaient aussi un peu (faut ce qu' il faut...)

Et avaient du bol (hommage tout particulier à fred Marty et ses 8 tirs de 17 pdr sur mes Panthers = 1 touche et 1 FP de 1 !!!)

Bref, on gérait tout ça peinards, décontractés, le coude à la portière...

Et on gérait l'effort aussi...
Mais pas toujours avec les bons produits...

samedi 12 juin 2010

A l'Ouest du Var...

Legends Of The Old West: autrement dit LOTOW.

Ce vendredi fuyant le match France Uruguay, 4 JTIstes se sont donné Rendez vous là.
En effet, 4 bandes qui commencent à être bien connues à l'Ouest du Var, devaient se retrouver pour mettre la main sur un magot enterré dans le cimetière (toute ressemblance...).

Les protagonistes sont,dans l'ordre d'apparition à l'écran:Les "girls" filles de joie pour hommes de peine comme dirait P Dac de Vaïk;
les apaches "furtifs" de Jéronimo;
les Rangers d'Oliver;
enfin les Outlaws de GG.Le "pitch",c'est comme cela que l'on dit maintenant, les girls sont endormies après un longue journée de labeur (sic), elles ont laissé 4 sentinelles hors de leur maison.
Trois bandes doivent s'approcher pour récupérer le magot qui est dans le cimetière.
Nous commençons de nuit et au 3e tour on jette un D6 pour le jour.Les 3 bandes s'approchent des essais de repérages ne donnent pratiquement rien.
Au 3e tour l'initiative revient à Jéronimo, qui lance un D6 ainsi que son cri de Guerre pour nous sortir un 6 qui permet au soleil d'apparaître et aux girls de se réveiller; elles sont 9 donc un perso un peu spé,la péripatéticienne, qui n'est pas adepte de philosophie mais d'autres choses que la décence m'oblige à taire.Avec le jour les tirs se font plus nourris, GG perd coup sur coup deux éléments, mais grâce à son desperado et à son tireur de bison allume le padre d'Oliver.Entre temps de l'autre côté de la table, Jéronimo lance une attaque au corps à corps avec les girls, il s'aperçoit que ses perso ne sont pas équipés de couteaux, une légende de l'Ouest qui tombe encore.Résultat: les girls repoussent tout le monde et allume à distance, Jéronimo étant indien doit tester sa bande car il a eu un tiers de pertes.
Ainsi les indiens rentrent dans leurs tepees...
Oliver profite que les girls soient occupées par les apaches et que les bandits restent à l'abri d'une cabane pour avancer un personnage dans le cimetière, celui ci échappant aux tirs récupère le magot et s'enfuit vers son bord de tables.
Après un échange de tirs, le Marshall Oliver arrive à sortir avec l'argent il a réussi la mission mais a perdu la moitié de sa bande...

Clap de fin.
Les joueurs regardent qui survit, qui évolue...
Très bonne soirée, en attendant une série d'engagements proposée par le Tzar en exil grand sachem de LOTOW.

Hasta la vista...

les irréductibles: DBM15/250

Compte rendu d'une de nos 2 parties simultanées de DBM 250 du 22 mai.
Un des avantages du format en 250 points, plus léger que le format en 400 points, est de pouvoir gérer 2 parties sur des tables différentes.Quand nous nous retrouvons en nombre impair( 3 dans le cas présent ), un des joueurs joue sur 2 tables en même temps comme le font parfois les joueurs d'échecs.
Seul inconvénient: il faut qu'il ait prévu d'amener 2 armées...
Je joue Alexandre le Grand face à Nono la loose qui aligne des romains avec un allié warband (des barbares donc ).
Nous nous déployons sur deux tiers de la table, face à face, chacun étant convaincu de pouvoir vaincre l'autre grâce à sa puissance de choc.
Nono fait confiance à ses barbares warband(O) appuyés par ses légionnaires romains BD(O).
De mon côté, je crois pouvoir l'affronter en envoyant ma phalange de piquiers PQ(O) et SP(S) ainsi que les compagnons KN(F) à l'attaque.
Les romains sont disposés de manière classique, barbares au centre du dispositif encadrés par des légionnaires à droite et à gauche puis par de la cavalerie CV(O) sur les 2 ailes.
Pour les macédoniens, la phalange est au centre, les compagnons sur l'aile droite et la cavalerie CV(O) ainsi que les auxiliaire thraces AX(S) sur l'aile gauche.

Dès le premier tour j'avance mes compagnons au delà du marais situé sur mon aile droite, pour tenter d'engager les cavaliers barbares qui sont les seules troupes dont Nono dispose pour protéger le flanc gauche de son infanterie.
Des chevaliers KN(F) contre des cavaliers CV(O), j'ai là un avantage considérable mais Nono le sait.Au centre, mon infanterie lourde avance à la rencontre des WB(O) et des BD(O).
Sur mon aile gauche mes cavaliers CV(O) se retrouvent face au 2ème groupe de BD(O) tandis que mes auxiliaires se voient contraints de sortir du bois pour couvrir leur flanc.

Arnaud va engager le combat partout sauf face à mes KN(F) où il va tout faire pour me retarder en ne me donnant ses troupes à affronter que les unes après les autres sans que j'arrive à provoquer un combat de masse.

Sur son aile droite face à mes auxiliaires, ses cavaliers espagnols vont m'infliger de nombreuses pertes, m'obligeant à replier les survivants dans le bois pour éviter la perte du corps.
Mais surtout, dans le combat d'infanterie au centre, ses guerriers impétueux vont faire un carnage.Ma phalange ne réussira pas à les arrêter. Pourtant, j'aurais plusieurs combats avec 3 débords contre eux (Rappel: à DBM 3.1 le 4ème rang de piques inflige un malus de -1 aux infanteries adverses ).

Malheureusement, je vais aussi me retrouver à combattre avec 2 débords contre moi par le jeu des poursuites après combat, or les infanteries lourdes (comme les piques) ne doivent pas perdre pied face à des guerriers sous peine de se faire massacrer ( en terme de règle, cela signifie que les warbands les tuent sur un simple recul et n'ont pas besoin de faire le double ).

Malgré le facteur de combat plus élevé des piquiers ceux-ci vont finir par se faire éliminer sans jamais réussir à infliger de pertes aux barbares (qui étaient tout de même appuyés par deux généraux romains !).
L'élimination de mon corps d'infanterie lourde va entraîner mon armée dans la déroute sans même laisser le temps aux compagnons de piétiner la cavalerie qu'ils avaient enfin réussit à engager.

Nono (que je ne peux plus appeler la loose...) a donc remporté la partie, ce qui me semble assez logique, la warband étant la seule troupe (avec les éléphants supérieurs) qui ait une chance de rivaliser au corps à corps avec une phalange de piques à DBM, je n'aurais pas dû les engager en étant aussi confiant.

Pour sa part, mon adversaire, en plus d'avoir fait de bons choix sur l'engagement des corps, a su bien gérer les situations tactiques sur cette partie. Il mérite donc largement sa victoire.
Maximus Nanardus

samedi 5 juin 2010

Matapan acte II

Après avoir poursuivi l'escadre Anglaise en fuite pour un temps, mais sans avoir eu d’échange décisif, la force de croiseur italien (Amiral Vaïk, Croiseur classe Trento - Trieste, Bolzano, Trento - et 3 destroyers) se retire pour apporter son soutien au cuirassé Vittoro Veneto et son escorte (Amiral Mikl – Vittoro Veneto + 4 destroyers). L’escadre Anglaise est composé de deux groupes : Amiral Mac GG – HMS Ajax, HMS Orion et 2 destroyers, et Lord Amiral Krystian – HMS Gloucester, HMS Perth et 2 destroyers.Ignorant de la présence d'un Cuirassé, les Britanniques décident de donner la chasse. Tout semblait aller pour le mieux pour eux jusqu'à ce que le cuirassé italien apparaisse à l'horizon et que des obus de 15 pouces éclatent autour des vaisseaux poursuivant.
Dès de le départ, l’escadre anglaise se rue sur le Cuirassé et son escorte. Le Vittoro Veneto dirige toute sa puissance de feu sur le navire de tête, le HMS Orion, l’endommageant gravement. Les Tirs Anglais visant les destroyers d’escorte lancés en avant sont inefficaces. Pendant ce temps, l’escadre de croiseur italien fait demi-tour à grande vitesse.
Les Anglais se dirigent à pleine vitesse sur le cuirassé dans le but de le torpiller. La seconde série d’échange vise le HMS Ajax et manque de peu de le couler. L’armement secondaire du Vittoro Veneto achève le HMS Orion. Les anglais ne pouvant espérer endommager le cuirassé, focalisent leur tir sur les destroyers. Les rapides navires italiens sont malmenés mais aucun ne subit d’avaries importantes.Les premières torpilles fusent depuis les 2 destroyers italiens envoyés en avant : ces dernières achèvent le HMS Ajax et touchent le HMS Gloucester. Le Cuirassé italien, continuant sa route, ne peut ouvrir le feu qu’avec sa batterie arrière et ne provoque aucun dommage. Un destroyer italien est coulé par les tirs des croiseurs. Néanmoins les croiseurs italiens arrivent et commencent à ouvrir le feu sur les destroyers anglais avec un succès mitigé.
Une véritable bataille au corps à corps se livre entre les destroyers des deux camps qui tentent de viser les grosses structures avec leurs torpilles et les destroyers adverses avec les canons. Le Vittoro Veneto évite les torpilles des destroyers et tire sans succès sur les croiseurs. Les croiseurs italiens mettent une grosse pression sur les anglais, endommageant les destroyers et achevant les croiseurs durement touchés : le HMS Ajax et le HMS Gloucester sombrent. Le croiseur italien Bolzano est coulé par un assaut massif de torpilles ainsi que deux destroyers italiens, mais les anglais ne disposent plus que du HMS Perth sérieusement touché et de deux destroyers.La plupart des destroyers italiens vidés de leur torpille s’éloignent de la bataille. Les croiseurs italiens se ruent dans la mêlée tandis que le Vittoro Veneto poursuit sa route. Un dernier échange de tirs des croiseurs achève le HMS Perth et détruit un destroyer. Isolé au cœur de la bataille, le dernier destroyer anglais se prépare à sombrer.
Du point de vue joueur : Belle bataille, première partie de Victory At Sea. Malgré des soucis de règles dans les premiers tours (activation d’unité en alternance, initiative) la bataille a été très sympathique.
Les anglais ont tenté leur chance avec les torpilles mais n’ont pas résisté aux canons du cuirassé, la suite a été une véritable poissonnerie (version boucherie mais navale quoi !).
Mikl

A noter que nous utilisons les figurines du jeu de Wizards of the coast: War at sea.Le gros avantage c'est d'avoir à peu de frais des figurines peintes et prêtes à jouer le souci c'est le choix qui est aléatoire.
En effet, les éditeurs de War at sea ont choisi de mettre dans leur paquet des figurines dites rare, commune ou inusité de manière aléatoire il est difficile de faire une flotte facilement.
panzergg