vendredi 31 décembre 2010

« Des pionniers dans les pommiers ou Jumping JTI contre Goliath »

Troisième et dernier épisode des fowmidables aventures du para de la 421° Airborn.


Après notre échec à Saint Lô, le QG nous envoya en direction d’un autre petit village normand. Nous devions nous y établir et attendre. Il s’est avéré que la panzer compagnie du Generalfeldmarschall Von Grifter venait de recevoir le même ordre. Situation classique de l’école de guerre ; le bon vieux « Free for all » !


Cette fois-ci, les M10, ont été déployés en profondeur, en lisière d’un bois. Une platoon a été mise en protection autour de chaque objectif en profitant au maximum des couverts. Les stuarts, les mortiers et les anti-aériens se sont rassemblés derrière les premières maisons du village. En Face, deux platoons de trois stugg et des nebelwerfers se déployaient dans le cimetière autour d’un objectif. Au centre et autour du second objo, des panthers, une reco de puma et des pionniers nous attendaient. Où plutôt non, c’est nous qui les attendions ! Ma platoon rouge devait tenir l’objectif à l’abri d’un verger de pommiers et d’un champ.

Les stug se sont placés dans le village et ont été engagés par les M10. Les pumas (pratiques pour faire sauter les « dugin » !), puis les panthers ont progressé au centre et les pionniers sur l’aile droite. Le redoutable Von Grifter a déroulé comme à l’entraînement : les panthers et les nebels ont arrosé à longue distance pendant que les pionniers montaient. Pendant ce temps, le HQ a lancé les stuarts, soutenus par les M10, contre les stugg dans l’espoir de taper de flanc. Les stuarts sont passés, démoralisant une platoon de stug au passage. Par contre, ils ont lamentablement « bogger » en voulant franchir les murs du cimetière pour attaquer les lance-roquettes et l’objo. Pendant ce temps, de l’autre côté, mes paras ont subi la charge des panthers et des pionniers. Ces derniers ont fait le grand ménage en envoyant leur goliath. Une nouvelle victoire majeure pour le redoutable et magnanime Von Grifter ! Avant de me renvoyer vers mes lignes, il eut aussi la gentillesse d’analyser mon déploiement : répartition trop déséquilibrée des mes platoons. L’aile droite aurait du être plus garnie pour soutenir mes paras.


En ce 4 décembre, j’achevais donc ma campagne normande en tant que second lieutenant. Les pommiers s’étaient révélés truffés de blindés allemands, de nebelwerfers, de grenadiers et de pionniers. Point de lutwaffe du coup, les anti-aériens n’ont pas été d’une grande utilité. Fox décida de les remplacer par une petite équipe de reconnaissance en jeep. Il me fit promettre de ne déployer les M10 que loin des lignes adverses. En « free for all », la règle « seek, search & destroy » me semble difficile : entre les éléments de décors et les autres figs, nous avons eu du mal à sortir les M10. Par contre, les 4 stuarts nous ont donné beaucoup de satisfaction et nous ont évité de rentrer à la base avec des 6/1. Pas de regret pour l’artillerie, les mortiers ont été suffisants. Quant aux paras, leur statut de vétérans intrépides et sans peur est un atout indéniable.


J’espère que mes souvenirs n’auront pas été trop indigestes. Je vous laisse retourner à vos figurines. So long boys !)

mercredi 29 décembre 2010

Jumping JTI deuxième partie

« Jumping JTI deuxième partie : douche estonienne dans le bocage »

« A peine le temps de descendre quelques bouteilles de cidre pour arroser notre victoire et nous voilà repartis pour un second engagement. Nous devions tenir une position près de l’église de Saint Lô, en plein bocage et, si possible, contre-attaquer. En face, une compagnie d’infanterie estonienne, soutenue par des panthers et des nebelwerfers. De l’« hasty assaut » dans l’air !

Nous avons décidé de placer une base d’attaque sur la droite, près d’un petit étang fort bucolique. Nous avons du étaler nos deux platoons de paras pour protéger notre zone. En positionnant notre objectif au centre, notre dispositif aurait été plus resserré. A l’opposé de l’étang, à côté de l’église, avec ma platoon, nous devions tenir l’objectif adverse. Un petit bois me permit de camoufler une partie de mes hommes et quelques bazookas rattachés. Nous avions décidé de déployer, en limite de zone adverse, notre platoon de M10. Une nouvelle fois les stuarts et les anti-aériens mobiles furent demandés en soutien.

L’infanterie enemie (grenadiers et pionniers) progressa en direction de l’objectif de l’église. Elle repoussa systématiquement les M10. Au centre, les panthers avançaient, assez sereinement, à l’abri des haies et autres collines. Arrivés à portée de mitrailleuses de mon flanc droit, ils ouvrirent le feu. Les nebels, les avaient déjà précédés. Voyant l’aile gauche craquer, le HQ décida d’envoyer la platoon « bleue » en soutien. Elle n’arrivera pas à temps. L’infanterie estonienne, lança un premier assaut sur l’objectif. Les M10 furent démoralisés. Les panthers progressaient et éliminaient lentement et surement ma platoon. Notre commandant de compagnie, les vapeurs de cidre dissipée, retrouva son esprit d’initiative. Les stuarts déboulant des réserves, il les envoya mettre la pression sur l’objectif adverse, défendu par l’artillerie et des paks 40 montés sur RSO.

De mon côté, je restais dans mes trous me contentant de contester l’objectif. Perdu pour perdu (la triplette de panthers faisaient des ravages), un assaut aurait pu me permettre d’affaiblir sa platoon. Elle fut d’ailleurs rejointe par les pionniers. Nouvel assaut contre mes paras. Depuis le début de la bataille, nous avions subi toute la pression des tirs et des assauts adverses. Impossible pour nous de contre-attaquer. Repli : incapable de revenir pour contester l’objectif à notre brillant adversaire. Par contre, nos stuarts (-1 suite au tir des RSO) ont détruit la platoon d’artillerie puis ont reculé pour se mettre à couvert. Ah ! En restant à proximité de l’objectif adverse nous le contestions !((

Erreur de placement du premier objectif, déploiement trop exposé des M10, excès de prudence en fin de partie … Bref, la douche froide et un retour tête basse au QG après cette défaite majeure.


lundi 27 décembre 2010

LIVRE ET BATAILLES


Les congés de fin d'année sont propices à la lecture.
JTI recommande cet ouvrage consacré à la bataille d' HASTINGS.
Récit très vivant et description historique limpide à l'aide de cartes bien référencées.
Enfin un auteur et un éditeur ayant compris le sens d'un ouvrage d'Histoire.
Un livre en format poche à conserver dans sa bibliothèque.









Dans la même veine (même collection), ce récit plus touffu de la bataille de WAGRAM (époque et échelle des combats obligent...). Ce gigantesque affrontement entre Napoléon et l'Archiduc Charles inaugure l'ère de la guerre moderne .
Enfin, ce très beau livre (grand format, nombreuses illustrations -photos et peintures) sur un thème au sujet duquel les publications sont rares. Le SECOND EMPIRE voit la France et son armée à leur zénith (Italie, Crimée etc...) avant de s'effondrer , foudroyé par la Prusse en 1870.

Bonne lecture à tous et à l' année prochaine autour d'une table de jeu...

Bazinski

mardi 21 décembre 2010

Au cœur de l’hiver rigoureux du Montana, dans le ranch où il s’est retiré, le fameux « Jumping JTI »...


Avertissement : nous sommes ici dans une fiction ludique (les comptes rendus de trois parties lors de la rencontre interclubs du 4 décembre 2010). Toute ressemblance avec des événements ou des personnages réels ne serait donc qu’un malencontreux malentendu.

Merci à Nicolas, Rémy et Jimmy mes adversaires du jour et à la dreamteam jtiste pour l’orga !))

Au cœur de l’hiver rigoureux du Montana, dans le ranch où il s’est retiré, le fameux « Jumping JTI » nous a fait partager ses souvenirs. Nos lecteurs les plus pointilleux voudront bien excuser les quelques imprécisions provoquées par le passage du temps sur la mémoire du vieil homme.

Partie 1 : première victoire

Sorti de l’académie militaire avec le grade de second lieutenant, j’ai obtenu une affectation à la 421° Airborne. Juste après ma formation para, j’ai été largué au dessus de la France. Les durs combats du Dés-Day m’ont permis de passer premier lieutenant et de devenir « leader platoon ». J’ai alors servi sous les ordres du rusé capitaine Fox. (NDLR : on aura reconnu ici un de nos plus brillants politiciens d’après guerre).

Mon premier gros choc en tant que « junior officer » se déroula donc en 1944. Le QG venait de recevoir des informations concernant la remontée vers nos flancs de la terrible division Das Reich. En toute hâte, nous avons reçu l’ordre de prendre position dans une petite vallée verdoyante. « No retrat boys ! » : voilà les seuls conseils, tout en subtilité, de nos officiers supérieurs.

Notre PC a été installé dans une ferme en ruine. Dans l’attente de renforts, nous avons choisi une défense assez haute et étalée de façon à verrouiller tous les accès de la vallée. La petite colline divisant la vallée en deux couloirs devait protéger le point d’articulation de notre dispositif. Des zooks indépendants sont venus renforcer les flancs des platoons. Nous avons cherché à privilégier au maximum les couverts pour bénéficier de leur protection. En retrait et en embuscade, sur les hauteurs boisées, 4 M10 et leur suivants ont reçu pour mission d’engager les blindés ennemis avant qu’ils n’arrivent trop au contact.

Avec beaucoup d’appréhension, je prenais donc le commandement de la platoon rouge.

L’attente n’a pas été longue : les hommes de l’Obercommandant Underdog ont déboulé de part et d’autre de la colline centrale : sur les bleus, une section de PZ IV (1) soutenue par de l’infanterie et une mitrailleuse anti aérienne ; sur mes rouges, une unité de panzer 4 soutenue par de l’infanterie mécanisée (2). Au centre, un lourdaud jagdpanther s’est avancé (3) ; heureusement, il s’embourba à maintes reprises en escaladant la colline. Depuis l’arrière des lance-roquettes commençaient à pilonner les bleus avant de se concentrer au centre du dispositif.

NDLR : retrouvée dans les archives US, la photo d’un vol de reconnaissance effectué juste après la la bataille nous permet de corroborer les propos de notre vieux para. De mémoire, le premier objectif était placé entre le ferme et le bois. Le second, placé par le défenseur, est visible au fond (la station de communication).

Nos paras ont courbé le dos et sont restés terrés dans leurs trous : chaque platoon subit des assauts mais les repoussa (Merci les zooks et les bombes gammon !).

Les stuarts, les half-tracks anti-aériens et les mortiers chimiques, arrivés tardivement du fin fond des réserves, sont entrés en action mais ne furent pas décisifs. Pareil pour les M10 (une touche pour un bailout sur 16 tirs !).

L’expérience et la détermination des paras leurs auront donc permis de tenir malgré les nombreux tirs et les assauts. Les platoons adverses ont surtout craqué au niveau du moral : armée en déroute. Notre première victoire écrasante !

Lors du debriefing, nos supérieurs insistèrent sur nos deux principales erreurs : avoir un peu trop exposé nos stuarts face aux PZ IV. Surtout, ils nous reprochèrent d’avoir concentré au centre du dispositif des éléments des deux platoons. L’artillerie adverse a ainsi pu clouer les 2 platoons en un seul tir et à plusieurs reprises ! D’autres erreurs, aux conséquences bien plus lourdes, nous attendaient lors de cette campagne de France !

A suivre …


dimanche 19 décembre 2010

FOW, Feu et Furie mais aussi chocolat...

Tiens, des Zouaves.

Vendredi retour au club d'une grande règle, j'ai nommé Fire and Fury.
En effet 6 joueurs se sont rencontrés pour croiser les sabres.

Fury!!!

Fire!!!

Nous avions décidé de jouer un petit scénario Corinth environ 85 éléments d'infanterie chacun.
Phiphi, Baz et Mikl prenaient les rebelles et Francky, Krys and me prenions les valeureux, courageux soldats de l'Union.Je prenais le commandement de 2 Divisions alors que mes camarades en avaient une chacun.
Les rebelles commandaient une division chacun.
Le scenario prévoyait la prise d'un carrefour important dans notre bord de carte.

L'aile gauche tient.
Les sudistes lançaient dès le premier tour de furieuses charges sur les lignes de l'Union qui grâce à un feu terrible mettait en désordre les colonnes d'attaque.

Furieux combats au centre...
Le combat sur le flanc gauche nordiste commençait à s'enliser en des combats au corps à corps.
Au centre la ligne bleue reculait en ordre mais privée de munitions devait faire face à des colonnes de sudistes menaçants.

Rebel Yell!!!

Sur la droite un duel de mousqueterie opposait Mikl et Krys. Celui ci voyant une faille dans le dispositif rebelle avançait sa division exceptionnelle pour préparer une charge dans un bois.

Les redoutables batteries et feux de mousqueteries de Krys préparant l'assaut.

A l'extrême gauche nordiste 2 brigades stagnaient dans les bois mais restaient "fraîches".
Après de sérieuses empoignades au centre où les sudistes commençaient à percer, les nordistes gardaient les ailes et Krys lançait une offensive dans le bois qui mettait en déroute une brigade et une batterie.
Le Général Krys sans son caniche heureux de son offensive...

La partie s'arrêtait car il se faisait tard...

A noter les parties hebdomadaires de FOW qui opposaient Alpanzer et Vaïk grenadier contre soviétiques et Maurinator contre Jé Grenadier contre Infanterie US.

Les soviétiques à l'assaut. Davaï!!!

Quelques boîtes de chocolat sont venues égayées cette soirée très sympa.
Même Mister Alex vétéran de Fire and fury est passé faire un coucou nous promettant sa présence à Cannes avec ses figs et ses décors...

Les M10 de Maurinator
Panzergg

mercredi 15 décembre 2010

Scoop!!!!


Attention ! Scoop en exclusivité mondiale pour la figoblogosphère, bientôt sur ce blog :


« Les fowmidables aventures de Jumping JTI »

ou la prépublication de quelques extraits des mémoires de FOW du vétéran para sans peur, mais pas exempt de reproches


John Thurston Inglenook.

dimanche 12 décembre 2010

JTI taille patron 25/28 mm

La fin d’année est propice aux cadeaux mais aussi aux « best of ». Cet automne les règles qui ont reçu les faveurs des belliludistes de Jti sont donc : CY6, ROE, Tactique et WAB. Merci à tous ceux qui ont œuvré pour développer ces jeux au sein du club. 2010 n’est pas encore enterrée que déjà bruissent les rumeurs pour 2011. Le buzz s’intensifie autour de « Mousquets et Tomahawks » en 28 mm…

A suivre donc.


Hier, deux parties : WAB et Tactique. Après s’être bricolé une liste sur un coin de carton à pizza, Stéph et ses romains ont affronté les redoutables phalanges de Fifi le Macédonien. Ce dernier tenta de déborder son adversaire en envoyant sa cavalerie sur les 2 ailes, les piquiers progressant au centre. Le coup de la tenaille ! Mais c’était sans compter la ténacité légendaire du piéton romain, enraciné dans la glèbe du latium. Quand je quittais le club (fort tard !), le match nul semblait se profiler.


Sur la seconde table, aucune ambiguïté sur le score !

A 23h30, Arnaud (arbitre, organisateur et pourvoyeur en figs pour ce nouveau Tactique 28 XXL) annonçait en effet une victoire écrasante des armées impériales de Krys-Murat et Jé face aux Anglais de leurs gracieuses majestés Nanardus (le débutant du jour) et Denis (surnommé général Paddington par son second). Nous nous sommes disputés une colline et deux villages disposés au centre de la table.

Je n’étais pas très satisfait du déploiement mais Krys-Murat et sa fougue légendaire ont su exploiter une erreur de Denis. Celui-ci, désireux de prendre la colline avant nous, envoya sa cavalerie légère en tête. Krys lança à son tour nos chevaux légers et nos lourds sur le flancs britanique tandis que notre artillerie et l’infanterie légère bloquaient la cavalerie de Denis. A partir de là, nous enfonçâmes le flanc adverse. Au centre, les Anglais tenaient un village. A droite, dans une tentative désespérée, Nanardus réussit à enlever la moitié du dernier village où nous campions et que nous avons du partager. Egalité pour les objectifs mais la moitié de l’armée anglaise avait regagné ses boîtes pour prendre le thé ou pour arriver avant la fermeture des pubs !

Leçon du jour pour les joueurs français : à l’artillerie tu entameras l’infanterie anglaise, de ses ripostes tu te méfieras.

Leçon du jour pour les joueurs anglais : prudent tu seras !!

Et nous … on rejouera !

mercredi 8 décembre 2010

The south strikes again....

Samedi 4 décembre 16 joueurs de 4 clubs se sont rencontrés dans nos locaux.
Le gros du contingent étant fourni par Aubagne et JTI.
Cette journée nous a permis de faire une répétition générale pour le tournoi FOW que nous allons mettre une fois encore en place au FIJ de Cannes en Février 2011.
Ce tournoi Anvil Dragoon se déroulera sur 2 jours et sera basé sur les "books" de fin de guerre.
Ce samedi nous avions décidé de tester en grandeur nature les scenarii suivants:
No retreat, Hasty Assault et pour finir le classique Free for all (il y en avait qui avait de la route à faire).
Grosse discussion autour d'Hasty assault qui semble peu facile pour les troupes mobiles.
A voir.
Les armées qui se sont affrontées pour l'axe pas de chars et de troupes mobiles avec du gros: TigerI et II, Panther, Elefant et Hummel.Des nebelwefer et des stug en nombre.
Pour les alliés des troupes plus variées 2 soviet 'tank), des américains plutôt fantassins, des français la 2eDB et des britanniques:blindés canadiens et paras anglais ainsi qu'une liste de paras polonais.Les combats furent acharnés après un petit café/croissant de bienvenu et une pause à midi à notre Pizzeria préférée: La Busca.


Les débats furent clos vers 18H00 sur une victoire chez les allemands d'un de nos amis d'Aubagne Grifter (J michel Babin) avec une stug compagnie à base de Stug renforcée de Panther et de Puma et chez les alliés de Russcoff de Cavaillon (F Guadiola) avec une horde de T34/85 appuyée de Dedov lui-même.

Voici le classement:
jean michel babin 21 axe panzer
rémy bertelotti 20 axe pionnier
olivier musson 16 axe pionnier
philippe bazin 16 axe pionnier
Gérard piasco 16 axe grenadier
philippe renaudi 14 axe panzer
stéphane baravex 13 axe grenadier
nicolas gauthier 12 axe panzergrenadier



Fred Guardiola 20 alliés tank soviet
fred osio 17 alliés para polonais
JP Mussani 15 alliés inf US
jérome chazot 15 alliés para US
julien duncan 12 alliés inf mec 2eDB
alexis pelisson 12 alliés canon d'assaut soviet
christian barralis 12 alliés paras anglais
marc lacreuse 9 alliés tank canadien



Chaque joueur est reparti avec un DAS BOOK et le premier de chaque coté avec un des books du dernier coffret de Batllefront.
Et le petit Poucet est reparti avec non pas la cuillère en bois mais un KIKI psychédélique.
Marc avait samedi la journée des dés noirs.


Expérience concluante donc qui a permis de valider nos choix de terrain pour Cannes aussi de resserrer les liens avec nos amis sudistes.
A bientôt sur Aubagne.

Francky Fox et Panzergg