dimanche 29 août 2010

TOUR DE CHAUFFE

Le 19 Aout s’est déroulée une partie de WAB en vue de préparer la démo qui aura lieu le 04 Septembre au club.Cette démo donnera lieu à un nouveau compte rendu qui sera axé sur les mécanismes de jeu et les règles développées au fil de la partie.

En attendant, voici que teutoniques et catalans se font face……



En ce jour pluvieux, l'ordre des chevaliers teutoniques allait affronter les forces catalanes comprenant dans leurs rangs de nombreux infidèles.
Le maître de l'ordre avait rassemblé deux unités de chevaliers, dont une de frères dont les capacités martiales supérieures feraient mordre la poussière aux chiens bariolés.

Deux unités d'arbalétriers appuieraient les flancs soutenus par les Schiffskinder sur la gauche et les Native regular sur la droite.

Deux unités de turcopoles étaient chargées de déborder l'ennemi.

Le seigneur catalan regardait au loin les blancs chevaliers se ressembler. Les fous, pensait il, ils sont si confiants dans leur cavalerie et la puissance de leur charge...

Sur son flanc gauche les redoutables Alains, cavaliers et archers hors pairs allaient contenir son flanc et harceler les troupes ennemis, soutenus par des Almughavars dont les capacités à occuper des terrains difficiles seraient sans doute s’avérer cruciales.
Lui même tiendrait le centre à la tête de deux unités de chevaliers Aragonais.
Sur sa droite les arbalétriers avaient pris position sur la colline. A coté d'eux se tenaient les cavaliers byzantins et enfin, l'infanterie constituée d’une seconde unité d’ Almughavars qui tiendraient le flanc droit.


Le premier tour vit l'armée catalane dans son ensemble avancer, les teutoniques pour leur part préférant tenir leur position mise à part les turcopoles sur le flanc gauche qui se dirigent brides abattues pour contourner les positions adverses.
Les cavaliers Alains mettent à profit leurs capacités émérites de cavaliers pour bloquer le débordement prévisible des turcopoles


Le premier sang est versé par les teutoniques dont les arbalétriers éliminent deux de leurs homologues catalans.

Après un deuxième tour de manœuvre et de positionnement le troisième tour voit les cavaliers Alain user de leur incroyable mobilité pour passer dans le dos des turcopoles !!!
Les arbalétriers teutoniques déclenchent le feu sur les cavaliers byzantins et la pluie de carreaux bien ajustés ne laissera que deux survivants qui tournent bride afin de regagner au plus vite leur campement !

Les deux cavaleries de l’ordre chargent les chevaliers catalans qui décident de contre charger et dans un vacarme effroyable de lances contre boucliers et armures, les teutoniques voient 5 des leurs mordre la poussière alors que seuls deux aragonais gisent à terre !!!!!


La puissante chargent a été stoppée !! mais l’entêtement des teutoniques les poussent à rester au combat.

Sur le 4 ème tour, les turcoples du flanc gauche continuent leur mouvement d’encerclement mais les Almughavars se retournent et se rapprochent afin de contre cette manœuvre.
Les cavaleries dans une mêlée indescriptible ne parviennent pas à se départager, les teutoniques bien que subissant le plus de pertes refusant de céder du terrain !!!

Au cinquième tour, la cavalerie teutonique finira par céder, les turcopoles du flanc gauche tentent de charger les arbalétrier qui se sont retournés et finissent criblés de carreaux, les survivants préférant fuir…..

Les Almughavars partent à l’assaut de la colline tenue sur le flanc droit des teutoniques par les arbalétriers. Ces derniers repoussent leurs adversaires mais ne parviennent pas à les rattraper…


La fin des teutoniques aura lieu deux tours plus tard lorsque les arbalétriers seront écrasés par les Almughavars et que la seconde unité voit la cavalerie catalane en position de la charger.

Rolf Laren

vendredi 27 août 2010

Session de rattrapage à JTI

FOW : big table ! Big battle !


Vendredi 13 à JTI : une table géante, 5 joueurs, 6 armées (plus de 10 000 points), une grande partie !


Après quelques adaptations sous la houlette de notre Francky Fox, les hostilités démarrèrent donc autour d’une très longue et très belle table (ce fut un vrai plaisir de la monter tous ensemble (photo 1). Le thème : un « hold the line » entre bocage, vergers et cidrerie.

Les Alliés (Francky paras et chars US + Krystian 7° Armoured british) étaient les attaquants. La mission de nos deux vétérans : prendre le village aux forces de l’Axe jouées par les néophytes (Denis panzerkompanie, Matt paras allemands, Jé panzerkompanie).

Les paras de Matt eurent la lourde tâche de tenir le village (photo 2), les chars et les réserves devant défendre les flancs et jouer les pompiers en fonction de la progression alliée. Le général en chef Hiérominus fit une belle erreur tactique (une de plus !) : pourquoi avoir décidé de laisser une section de pionniers en réserve ? Elle n’a pu rejoindre le champ de bataille dans les délais et aurait été redoutable avec son goliath pour sécuriser un des deux flancs. A propos des réserves ce petit dialogue entre Hierominus et un de ses adjoints teutons:

  • « Herr Denis ne vois-tu rien venir ? »

  • « Nicht, sinon des chars anglais ! »

J’exagère à peine en disant que les réserves de l’Axe jouèrent effectivement l’Arlésienne. Sans parler du support aérien allemand, tellement « sporadique » qu’il fut invisible.

Très vite, les jeeps de Francky et les stuarts de Krystian vinrent rôder au centre de la table et mettre la pression aux abords du village. Matt envoya alors 3 panzers IV pour débusquer les jeeps (photo 3). Mais Francky, le fourbe, révéla un peloton de M10 dans un bois menaçant les chars de Matt. Le piège se refermait. Heureusement pour nos jeunes recrues, les Alliés embourbèrent 2 M10 et un stuart dans un bois que Denis surnomma « Bog wood ». L’Axe concentra alors ses tirs sur les M10 sans détruire la platoon dans son intégralité mais, « bog wood » devint « smoke wood » . Au tour suivant, le feu de l’Axe se déchaîna sur les achilles de Krys qui furent anéantis. Ce premier coup d’éclat allemand fut aussi le dernier.

Sur le flanc droit, les paras US obligèrent les tigres de Denis et les panzers III de Jé à reculer, heureusement, leurs supports blindés musardaient un peu en arrière. Sur le flanc gauche, les cromwells et autres firefly de Krys progressaient avant de déferler en masse. Pendant ce temps, ses priest firent pas mal de dégâts aux hornisses et autres panzerwerfers. La cohorte des cromwells s’enfonça sur le flanc gauche en détruisant une platoon de pak 40, une autre de HMG, le HQ de Jé et finit par encercler un tigre. Une partie des blindés britishs se lança alors à l’assaut des paras allemands. Pendant ce temps, les paras US tentèrent eux-aussi un assaut sur le centre du dispositif, dans le village. La tenaille alliée se resserrait ! L’Axe était débordé. Nous étions dans le 7° tour, il était convenu d’une victoire de l’Axe au 8° si aucun Allié n’était présent dans le village.

Le général Hiérominus, limite excédé, dépité d’avoir perdu 4 sections, constatant la supériorité numérique et tactique des cromwells ainsi que le retard de ses réserves, accepta de se rendre et autorisa les Alliés à aller se coucher. Nous jouions depuis 5 heures !


Merci Messieurs les Alliés ! Vous avez donné une belle leçon aux néophytes allemands !

Un enseignement pratique : pour une « big battle », il vous faut prévoir une journée entière ou réduire la taille de la table.

Un enseignement tactique pour les néophytes : méfiez-vous de la vitesse de la reco et des cromwells !

mardi 24 août 2010

Que fait le JTiste en vacances? (part 2)

Mes vacances de Jtiste ..... La Champagne-Ardenne, (Troyes - Provins - Reims etc....) SOIT : les Andouilles et le Champagne : ( photo du char Romilly, le premier char entrant dans Paris ...... etc... ) puis :Médiévales de Provins en juin.
Lord Krys quitte la 7ème armoured pour le commandement d'une autre unité;... d'élite - en cours de peinture ( top secret ) Il est remplacé par l'ancien commandant du vingt deuxième Régiment de la Cavalerie américaine, ( en 1860) naturalisé Anglais, je veux parler du Capitaine Stark,,,,, des tuniques bleues, "CHARGEZZZZZZZZZZZZZ!!!!!!"

TACTIQUE -: Armée Russe Empire Infanterie de ligne toute peinte .... il reste une élite à finaliser. ..... et les unités d'artillerie et de cavalerie... Figurines sont des : A Touler, Hyper-sympa et très dispo pour faire à la demande les figurines dont j'ai eu besoin ....

Krystian

dimanche 22 août 2010

LECTURES DE VACANCES

Perché à 1700 m. cet été, j'ai trouvé cette lecture de circonstance. Rédigé par des officiers français et révisé à l'aune des derniers combats en Afghanistan, ce livre tire six grands principes à respecter dans la guerre en montagne et fournit une analyse de huit batailles représentatives d'un conflit mené dans ce milieu extrême dont une des particularités est de niveler les différences de niveau technologique vers le bas. Ces différents textes sont principalement destinés à des militaires, donc faciles d'accés...hum hum, sans être simplistes (il faut d'ailleurs saluer le style et le fond des écrits de ces officiers). L'analyse de l'opération Anaconda menée par les américains en Afghanistan en 2002 ne laisse pas d'inquiéter quant à l'avenir de ce conflit en notre faveur. De même peut-on soupçonner une légère complaisance des auteurs pour la bataille d'Alasay livrée contre les talibans par les chasseurs alpins français en 2009...
Livre extrêmement précis, clair et intéressant quoi qu'il en soit.


Ce livre complète bien l'ouvrage précédent et donne une vision bien plus nuancée des soviétiques en Afghanistan que celles communément diffusée. Les russes ont bien sûr très mal analysé les conséquences de leur intervention en 1979 et la nature de l'opposition qu'ils pourraient y rencontrer. Cependant, ils ont rapidement procédé à une approche stratégique différente dès que la guérilla a marqué ses premiers points. Militairement, les soviétiques sont parvenus à endiguer les moudjahidins (en concentrant les unités classiques en milieu urbain et sur le réseau logistique et en lançant les unités spéciales -parachutistes et spetsnazs- sur le terrain montagneux et sur les chemins d'approvisionnement des guerilleros). Ils ont rencontré les mêmes difficultés que l'Alliance actuellement en place pour mettre les Afghans de leur côté (armée et police afghane corrompue et infiltrée, désertion massive etc...) et ont finalement échoué politiquement. On peut s'attendre au même désastreux résultat pour les américains et leurs alliés plus ou moins motivés...
Livre aussi précis que le précédent (bénéficiant lui aussi de croquis et plans détaillés).

Dans un autre genre, le journaliste belge Pierre Stéphany consacre cet ouvrage à un sujet déjà largement étudié. Son premier mérite est de l'inscrire dans un aperçu général de la situation du front ouest en décembre 1944 militairement mais surtout politiquement et socialement (dissension entre alliés, instabilité politique etc...). Son second mérite est de se pencher principalement sur les souffrances des civils dans cette offensive allemande. Outre les bombardements et les dommages collatéraux habituels, ainsi que les conditions climatiques extrêmes , les belges concernés par les combats ont subi les exactions des SS. Hommes mais aussi femmes et enfants ont été massacrés gratuitement . Stéphany émet deux hypothèses pour expliquer ces crimes : l'habitude du front de l'Est pour certaines unités SS mais surtout, le souvenir des attaques des partisans belges lors des combats de septembre et de la retraite allemande d'où la soif de vengeance des troupes nazies ainsi que leur peur des résistants.
Comme le livre ne se veut pas une analyse détaillée, technique et stratégique de la bataille, on ne peut pas lui reprocher l'absence de cartes, celle générale en début d'ouvrage suffit à situer les événements.
Un ouvrage qui reste une bonne surprise pour moi et que je recommande.
Grâce à Laury (toujours de bon conseil), je me lance dans cette lecture et dois déjà reconnaître l'originalité du projet et le grand intérêt du sujet. L'auteur nous raconte en effet l'assassinat d'Heydrich à Prague en 1943 par un tchèque et un slovaque parachutés par les anglais. Mais surtout Laurent Binet en profite pour nous éclairer sur la difficulté du "roman historique" et nous porte à réfléchir sur cette fameuse dualité "roman" et "historique". C'est un premier livre au parti pris assumé et même revendiqué que je lis avec avidité...(attention, pour les malheureux qui ont séché sur "Les Bienveillantes"-oeuvre autrement plus ardues-, ne vous y méprenez pas, ce livre se lit sans difficulté, ce qui ne retire rien à ses mérites).
Voilà...
Je rappelle que je ne suis pas critique littéraire et que ces avis restent ceux d'un lecteur amateur donc, ne nous fâchons pas.
Bonne lecture.
Bazinski

Que fait le JTiste en vacances? (part 3)

Que fait le JTiste en vacances? (suite)

En vacances dans le Gers, le JTiste se jette comme un mort de faim sur la moindre abbaye, la plus petite bastide carrée ou ronde du coin, enfin bref tout ce qui peut rappeler sa passion: l' Histoire.Au pays de D'Artagnan et de Lannes, il oblige même à l'occasion ses enfants à participer à cette passion.Panzergg

samedi 21 août 2010

Devoirs des vacances des jitéistes juilletistes.

En ce mois de juillet, les blogmasters de JTI ont déserté pour des contrées moins caniculaires. Mais les valeureux pioupious ont continué à pousser les figs et à lancer les dés. Outre la soirée DBM 25, dont vous avez pu lire le CR romanesque de JRR Nanardus, sachez que les fowistes du vendredi se sont aussi retrouvés le 16 et le 30.

A noter : le retour gagnant de Fifi « le Renard du désert » et son armée middle, les victoires de la 7° Armoured de Lord Krys contre deux vétérans du club ; les mêmes qui, bravant les flots de touristes, nous ont dignement représentés lors du tournoi de Toulon. Sinon, comme d’habitude, les chars de Jérominov ont été terrassés par les tigres d’Olivier.

JTI, c’est aussi une mailing list qui permet aux adhérents de fixer le planning des parties, de se lancer dans des débriefings sauvages, de plaisanter et aussi de débattre des règles du moment. Or, ce mois-ci, les échanges ont été particulièrement fournis. Des rendez-vous ont été pris pour tester, à partir de la rentrée, des jeux encore inédits au club : « Field Of Glory » et « Warhammer Ancient Battle V2 » pour l’antique médiéval ainsi que « Check Your Six » sur le thème des combats aériens pendant la Seconde guerre mondiale.

D’ici là, place aux aoûtiens !


lundi 16 août 2010

Que fait le JTiste en vacances?





Que fait le JTiste en vacances?

Un peu de baignade en compagnie de quelques naïades, la visite des clubs de la Côte...bref la routine...MAIS surtout le JTiste conserve sa passion pour l'histoire et visite quelques musées en ramenant quelques photo à partager.
Les armures sont du XVI et XVI exceptée notre ami turc qui de mémoire est du XIVème...à confirmer.

Photos prises au MET (metropolitan museum of Art), New York.

bonjour chez vous

Stéphane

samedi 7 août 2010

DBM de juillet....en août


Voici un petit compte-rendu de notre deuxième partie Arthur contre Saroumane en
DBM 25mm 250 points.Vous ne verrez pas celui de la première car j'avais emporté les mauvaises figurines au club et avais dû remplacer mes orques par des humains et mes wargs par des chevaliers pour ne pas rester les bras croisés !Autant dire que ce n'était pas, esthétiquement, le résultat espéré !

Gilles m'a donc demandé de refaire la partie mais, cette fois, avec les bonnes
figurines !Voici le résumé, vous verrez ça sera assez court ! ;-) De gauche à droite:
Les tirailleurs orques investissent une colline inoccupée et se retrouvent face à des cavaliers légers qui occupent la plaine derrière celle-ci.
Les cavaliers ne peuvent attaquer la colline sans se faire massacrer, les tiraillleurs ne peuvent la quitter sans courir le risque de se faire balayer:Neutralisation mutuelle.

Les cavaliers Wargs ( CV(F) infligeant -1 aux troupes montés ) avancent mais se retrouvent face à des chevaliers, ils choisissent de rester dans les broussailles ( où ils n'ont pas de malus ) car les chevaliers ont des généraux dans la ligne qui leur donnent un avantage au choc.
Les chevaliers restent en dehors des broussailles où ils n'ont aucune chance avec leurs chevaux.
Neutralisation mutuelle.
Au centre, mes Uruk-Haï (ma meilleure troupe) se jettent en avant pour affronter l'infanterie lourde ( BD(O) de Gilles ) et 2 éléments de chevaliers avec l'aide du troll venu du corps voisin.
C'est le seul endroit de la table où j'ai un petit espoir de faire un trou dans la ligne de bataille Arthurienne !A droite, mes orques (ma plus mauvaise troupe par la qualité mais pas par le nombre ) se retrouvent face à 2 collines tenues par les auxiliaires de Gilles ( AX(S) ). Ils sont moins nombreux mais placés en position avantageuse. Je n'ai pas intérêt à monter à l'assaut de la colline ni lui à la quitter pour m'attaquer.
Neutralisation mutuelle.Comme vous le voyez, tout cela semblait mal barré et risquait de s'éterniser...Heureusement pour l'intérêt du jeu, je vais me voir contraint de laisser mes orques impétueux attaquer la colline car mon général n'arrive plus à les contrôler ( rappel: à DBM une troupe impétueuse se jette sur l'ennemi le plus proche si on ne lui donne pas l'ordre de rester sur place ).
Je me console en me disant ( sans y croire vraiment ) que mon surnombre me permettra peut-être de déborder mon adversaire par la droite.En fait, mes orques vont se faire étriller ce qui est assez logique.
Leur nombre évitera qu'ils ne se fassent démoraliser trop vite, mais je sais qu'ils ne pourront pas tenir éternellement d'autant plus qu'ils continuent à se jeter sur les troupes de Gilles qui se font
un plaisir de les détruire les uns après les autres.
Au centre mes Uruk-HaÏ arriveront ( comme je l'espérais)à percer la ligne de Gilles.
Mais je sais que mon attaque ne pourra pas démoraliser l'ensemble de l'armée d'Arthur avant que la mienne ne craque.
Et c'est à ce moment que mon adversaire (fatigué par sa longue semaine de travail ;-) ) va commettre une erreur grossière:
il va envoyer son général en chef sur mes wargs avancés dans la plaine, remporter le combat et poursuivre jusqu'à se retrouver seul dans la broussaille.
Bien entendu, je vais envoyer tous les Wargs disponibles pour en profiter et l'éliminer
(c'est que, de mon côté, je suis en vacances et j'ai gardé l'esprit clair ;-) ).

Surpris par la perte brutale de son commandant, le corps du général en chef va démoraliser créant des trous immenses dans la ligne de bataille arthurienne.

L'armée de Saroumane se précipite dans les brèches, en quelques tours la bataille est terminée, les orques promenant la tête d'Arthur au bout d'une pique. ;-) Coluche avait certainement raison en disant:

"L'être humain n'est pas fait pour le travail, la preuve c'est que ça le fatigue."

Ce n'est pas Gilles qui le contredira.
D'ailleurs il est parti en vacances à l'heure où j'écris...
Nanardus imperator