jeudi 7 août 2014

Trois sang : du fast & furious avec Heroes of Normandie

 



HoN : vendredi 18 juillet

Seconde partie « en libre » avec Baz. Soucieux de redorer son blason après sa défaite inattendue lors de notre première partie, Baz a pris soin de muscler son armée avec de l'antichar (panzerschreck team, panzerfaust en option). Il a ajouté un puma et surtout, il a bossé sur son deck de cartes. Un aspect très intéressant du jeu qui oblige à anticiper sur la partie à jouer en tenant compte, comme pour l'armée, de notre type de jeu, voire de celui de l'adversaire si nous avons la chance de le connaître ...

Pour moi, une armée sans trop de finesse. Avec des unités plutôt solides. J'ai repris les mêmes éléments que précédemment en ajoutant un stuart et en virant le mortier, remplacé par une option vétéran. J'ai aussi pris une carte « air strike » et une option « planning »pour gagner un ordre (5 au total). Baz à fait de même... Pas de héros, ni chez l'un, ni chez l'autre. Les 2 armées sont donc beaucoup plus équilibrées cette semaine. 


Baz progresse vers mon flanc gauche, tenu par mon bazooka team, à l'abri d'une maison. Il a déjà échappé à une fourbasse carte « mine » mais il va attirer les balles, comme le miel les mouches, pour finir par être éliminé et ouvrir un boulevard au PZIV, bien soutenu par l'infanterie. La mienne se planque dans le bocage en face. 


Un zook team en moins, ça craint pour le Ricain !

J'ai planté mon déploiement  puis trop avancé au centre mon stuart. Il va concentrer le feu de mon adversaire : panzerfaust, panzershreck et panzer IV. Deux tours plus tard, il finit à l'état d'épave. J'ai aussi trop exposé ma calibre 30 en voulant la faire engager le puma à longue portée, aucune chance … Heureusement, je vais la sauver et je récupère un ordre avec le bonus tactique. 




Un stuart détruit, ça sent le roussi pour le  Ricain.
A droite, mon sherman reste en fond de  
cour et fait le ménage dans une fortification. Baz n'ose pas trop bouger son puma.Timidement, je vais engager mon sherman contre le panzer. 

Ménage dans le bocage.

Après un duel de 2 tours, par la grâce d'une belle série de dés et d'une carte réparation (je la gardais en main depuis quelques tours), je vais le réduire en bouillie mais je finis bien amoché  ! Inespéré ! La situation s'inverse. Je commence le ménage. 

Nous sommes au tour 6. Grisé, je prépare un assaut sur mon flanc droit pour m'emparer de mon objectif secondaire. Je canarde avec la cal 30 mais oublie de faire mon tir en suppression. Je ne peux plus jouer ma carte "fuite" : elle devait faire reculer le team de Baz qui  bloquait mon objectif. Par contre un des panzerfaust adverse immobilise mon char.
Nous arrivons à la fin de la partie, mouvement de réserve. Décompte des points. Et là, stupeur : veni, vidi et non vinci ! Comme ne l'a pas dit Jules. Baz a habilement joué les objectifs. Nous avons à peu près perdu le même nombre de points d'option, nous nous neutralisons sur l'objectif secondaire neutre à gauche. Sur la droite, je tiens son objo secondaire, il tient le mien. Par contre, il contrôle l'objectif central ! Bingo ! Si seulement, mon chef était sorti de 2 cases pour contester l'objo … Comme l'aurait dit Jules : ne jamais se reposer sur ses lauriers … Encore moins face à Baz.

Victoire de Baz
Je ne les ai pas trop évoquées mais les cartes ont été très utiles. Par contre, il faut faire tourner le paquet ! En joueur de « Combat Commander », Baz à l'habitude. En fin de partie sa défausse contenait 20 cartes, la mienne 13. Difficile de trouver un équilibre entre rareté, efficacité : j'attends toujours ma carte aviation …
Pas énormément d'assaut cette semaine encore. Ni Baz, ni moi n'avons manqué d'ordres lors de la partie. Nous avons joué, comme la semaine précédente en environ 2 heures. Deux « problèmes », le puma ne tire qu'une fois malgré son canon et sa mitrailleuse. Sur les deux faces de mon pion Marvin je retrouve le symbole grisé qui indique qu'il reste lui un « pas de perte ». Serait-il immortel ?
Voilà, toujours aussi convaincu par ce jeu. Par contre, si je veux augmenter mon choix d'options et ranger mon matériel, il va falloir passer par la case boutique et ses boîtes d'armées.

dimanche 3 août 2014

GMT chez JTI : les pions s'incrustent.

Soirée GMT puisque nous avons joué une partie de Combat Commander et une partie de Command & Color Napoléonic. Ce dernier jeu est d'ailleurs souvent pratiqué avec des figurines au club. L'honneur du club est sauf puisque les figurines étaient présentes pour une partie de Bolt Action dont Gg vous parle ici : 
 

Pour moi initiation largement positive à Combat Commander, d'autres parties s'imposent avant d'en reparler mais le jeu m'a vraiment plu. Merci Baz !). 
Nous avons eu aussi le temps pour un petit Heroes of Normandie dont on reparlera mais pour l'instant place à JB qui va vous rendre compte de la partie de CCN. 


Napodd.

Aspern/Essling

Historiquement, les Autrichiens se font gloire de ce que cette bataille
a été la première défaite de Napoléon. Ici, les Français ont vaillamment
résisté et finalement gagné.

Au déploiement, c'est impressionnant. Les Autrichiens ont sans doute le
double de plaquettes que les Français ! Ils ont plus d'unités et leurs
unités de ligne ont 5 plaquettes. En revanche, ils sont bizarrement
disposés, avec des masses d'infanterie sur les ailes et un centre
faible, comprenant surtout de la cavalerie. Les Français possèdent les 2
villages d'Aspern (à gauche) et Essling (à droite), qui leurs donnent 5
points de victoire, mais ils sont dominés par les collines tenues par
les Autrichiens, qui rapidement y amènent leur artillerie. A gauche, les
Français ont de l'infanterie en réserve et au centre, derrière des
unités d’artillerie, on a de la cavalerie, dont les grenadiers à cheval
de la Garde et 4 unités de cuirassiers. A droite, en revanche, c'est
plutôt léger.

Au début, ce fut surtout une affaire d'artillerie. Rapidement, on se
retrouva à 4 pertes pour les Français contre 2 pour les Autrichiens, qui
en revanche avaient plusieurs unités bien entamées. Par manque de cartes
sur leur gauche et pour tirer au maximum avec leur artillerie, les
Autrichiens n'ont pas fait bouger leurs masses de leur aile gauche, ce
qui allégea la pression sur la droite française qui put ainsi se
concentrer sur sa gauche et sur les collines devant Essling. Une attaque
autrichienne d'infanterie et de cavalerie sur Essling fut reconduite par
une charge de cuirassiers appuyés par l'artillerie à cheval. Alors les
Autrichiens lancèrent une vigoureuse charge de cavalerie au centre, qui
détruisit une artillerie et réduisit une unité de cuirassiers de moitié
mais la contre-attaque de la cavalerie française fut dramatique pour les
Autrichiens, surtout qu'elle fut suivie d'une autre charge générale de
la cavalerie française. En 2 tours, les Autrichiens perdirent 8 unités
et 2 officiers, puis encore 2 unités et un officier. Les Autrichiens
n'avaient plus de centre. Ils lancèrent une vigoureuse attaque
d'infanterie sur Aspern qui chassa provisoirement les français de la
majorité du village mais une poussée des réserves françaises reprit
suffisamment du village.

On s'arrêta là. Si l'on compte les unités condamnées, les Français
avaient les 21 points de victoire nécessaires, dont 2 pour Essling mais
sans même compter les 3 points pour Aspern. Les autrichiens avaient 6 ou
7 points de victoire.
Gli Austriaci d'un soir
Un bon jeu, qui encore une fois commença faiblement pour André et
moi-même avant un retournement vigoureux de la situation, plus violent
encore que la semaine dernière. La double charge générale de cavalerie
provoquée par les cartes successives "contre-attaque" (qui nous a permis
d'émuler la "charge de cavalerie" des Autrichiens, puis "charge de
cavalerie" a été décisive.

Ce serait bien de la jouer avec figurines mais il nous faut encore
beaucoup peindre !

JB

samedi 26 juillet 2014

Soir d'été chez JTI : ça pique !

Quelques échos tardifs de la soirée du vendredi 18 juillet.
Bravant des escadrilles de moustiques, six Jtistes ont déployé trois tables : une table monstrueuses de « Tactique. » Effet de masse garanti ! Une table de « Warmachine », du lourd ! Et une table moins chargée, car sans figurines, de « Heroes of Normandie ».




  

 

 


Tactique


Autrichiens contre Anglais. 
Au  déploiement, Olivier a posé sa cavalerie à son aile gauche et ses 3 unités d'infanterie d'élite au centre-droit. Nous avons chacun refusé notre centre et j'appuyais à gauche mais c'est Olivier qui le premier a
avancé aussi de ce côté. Je l'ai bien secoué et il s'est replié avec la perte d'une unité. 

 

A mon tour j'ai attaqué sur le flanc gauche mais j'ai
perdu 2 unités et j'ai dû me replier. Il avançait à nouveau et je le contre-attaquais. J'ai failli le bousculer mais, sous le feu de 3 canons et de quelques ripostes redoutables, cette attaque s'est écroulée, ne me laissant que quelques unités réduites à 1 plaquette, que je repliais en vitesse mais pas assez vite pour éviter les coups de canon.


Je me retrouve alors avec une aile gauche quasiment détruite et à 8 pertes contre 3, avec une fin à 9. J'envoie alors ma cavalerie dans une charge Banzaï. Je détruit une unité de cavalerie lourde et manque un coup décisif mais la riposte me coûte 2 plaquette d'une unité de dragons, juste en face d'une artillerie... Ce qui finit la partie, 9 à 4.

 
  

  
JBV

mardi 15 juillet 2014

Heroes of Normandie débarque chez JTI !

Les débuts de "Heroes of Normandie" à JTI : bilan & perspectives.




Renseignements.

Lors du Festival des Jeux à Cannes, Yann était passé sur l'espace du club pour nous inviter à une présentation du de HoN. Nous sommes donc plusieurs joueurs du club à avoir pu découvrir le matos pléthorique du système et rencontré un de ses créateurs, vraiment passionné par son projet.
Suite au visionnage de la Tric Trac TV (presque 7 000 vues à ce jour, le compteur tourne bien ! Bon signe !), "craquage" pour HoN. Ce qui a fait tilt, c'est le fait de pouvoir jouer en suivant les scénarios, mais aussi et surtout par liste, avec un nombre de points identique pour chaque joueur. Comme pour nos parties de fig et en plus, sans avoir à peindre une nouvelle armée (je suis un très mauvais peintre!).
  



Préparatifs, logistique et intox.

Commande du jeu fin juin et déjà la rupture de stock pour les Army Box (encore un bon signe). Deux lectures de la règle (courte) plus tard, test du scénar 1. Pas de problèmes majeurs. Pas dépaysé par rapport à Flames of War ou Conflict of Heroes dont on retrouve le côté violent : il va falloir éviter de batifoler à découvert. La guerre quoi !

Baz, qui a déjà le jeu et plusieurs extensions (autre très bon signe) et deux parties à son actif me propose un affrontement sans scénar en 200 pts. Pas question de louper ma première avec un vrai joueur en face. Un vrai, un dur, le Baz : vainqueur de la Ligue Blood Bowl JTI avec ses lézards, redoutable compétiteur à Flames of War avec ses pionniers, joueur de Combat Commander. Bref, un maître tacticien ! Depuis la guerre des Gaules, on sait qu'il est de bon ton de valoriser son adversaire ;)

Tactique et rassemblement des troupes.

Je prépare une première liste avec la tuile de recrutement de la rifle platoon du 22° Rgt d'inf de la 4°DIV US, un stuart, un team bazooka et des munitions supplémentaires. Plus compliqué qu'il n'y paraît pour se monter une liste pile-poil ! Après un test en solo, sans avoir utilisé mes munitions supplémentaires, j'opte finalement pour la simplicité (pas trop d'unités différentes), la solidité (mis à part la calibre 30, le mortier et le zook mes plaquettes ont une capacité d'assaut et 2 pas de perte) et la puissance de feu (tir de suppression avec les supports team et la cal 30). Mon armée se compose donc de la rifle platoon de base, d'un bazooka team, d'un sherman et d'un mortier. En construisant mon deck de 40 cartes, je découvre leur potentiel tactique (et le beau travail pour le choix des illustrations et des textes) : là encore je privilégie les cartes qui me semblent les plus simples à utiliser : des bonus en attaque ou en défense. 
 Mes Ricains

Début des opérations.

J'ai bien fait de choisir la polyvalence ; comme prévu Baz aligne un panzer IV, plus puissant que mon sherman. Par contre, je palis à la découverte du reste de sa liste : du panzergrenadier mais il a aussi choisi la carte de l'officier supérieur (utilisable à partir de 200 pts ou plus). Le fourbe a donc moins d'unités que moi mais il dispose d'un ordre (= 1 activation) en plus par tour ! Il a aussi pris des grenades et des pions vétérans qui lui permettent de relancer ou faire relancer un dé ! Il a privilégié l'assaut par contre, il n'a pas trop bossé sur son deck de cartes (ouf!). 
L'armée de Baz

Je mets en place le terrain, on place les objectifs et les bonus tactiques, deux éléments de décor et go ! 
 
Le déploiement initial
 
Les premiers tours, nos troupes avancent. Je manque de prudence. A la fin du troisième tour, j'ai déjà perdu ma calibre 30 en l'exposant trop, mal géré mes lignes de vue avec mon mortier et surtout perdu à deux reprises l'activation de mon sherman annulée par deux cartes « communications coupées » qui permettent à Baz de me retirer mon ordre et donc de bloquer mon char. Le sherman se prend un pruneau et n'a plus le droit d'utiliser qu'une arme à la fois. Je récupère un bonus tactique (+1 initiative) et Baz un autre qui lui accorde un ordre supplémentaire (encore !) 
Nos troupes se font maintenant face au centre de la table. Un combat d'attrition débute. Mon char diminué et deux unités d'infanterie participent de mon côté, les autres sont isolées à couvert et/ou mal placées. 


Ça va chauffer !

La Victoire.

Finalement au tour 6, je joue la combo de cartes que je gardais en main depuis le début de la partie. D'abord une "communications coupées" pour supprimer l'activation du PZIV. Puis à son tour, mon sherman engage le PZIV. Je joue aussi une carte « point faible » contre le char, Baz est obligé de prendre son blindage arrière à 6 au lieu de l'avant à 9 : le panzer perd son canon et mon adversaire son potentiel anti-char ! Il tentera un assaut avec un de ses officiers pour la beauté du geste. Mes troupes progressent sans grandes difficultés pour contrôler tous les objectifs et obtenir ainsi 20 pts de victoire. Mon bazooka team a atteint son seuil de rupture ce qui a permis à Baz de sauver la face en marquant 5 pts et m'a fait perdre 1 ordre. Je n'avais donc plus que 2 activations pour mes 2 derniers tours ...
Fin de partie. 
Debriefing de la bataille.

Mon armée, contrairement à celle de Baz, avait une capacité antichar double (le sherman et le zook) et une infanterie nombreuse. Mon mortier ne m'a pas servi. Je l'ai mal utilisé en l'engageant trop tard. Baz lui n'a pas utilisé ses grenades et il estime avoir craqué trop tôt ses pions vétérans en attaque. Il a regretté de ne pas les avoir utilisés en défense.
Les cartes sont décisives, tant dans la création de la liste d'armée que pendant la partie. Il m'aurait fallu intégrer quelques cartes « réactifs » ou « relais » pour compenser mon manque d'ordres. En jouant, à chaque tour, je redoutais de voir Baz sortir une carte mettant à mal ma tactique laborieusement élaborée (du type carte "Nein" ou "seconde chance"). Il faut anticiper cela aussi et prendre le temps de lire les cartes adverses ! Ces cartes apportent pas mal de piment à la partie.

Retex partial d'un figuriniste comblé.

Sous ses apparences simples (16 pages de règles) et hollywoodiennes (les illustrations) HoN est très ludique, plein de tension, fluide et sans temps morts. Nous avons joué en prenant notre temps (chez JTI ça veut dire aller acheter du ravito, voir ce qui se passe sur les autres tables, discuter avec les joueurs de passage ...) environ 2H, en pinaillant volontairement sur les règles pour des détails et en répondant aux questions des copains. 

Ce wargame de figurines sans figurines nous a largement convaincu. En tant que figuriniste, on est à l'aise et nous avons pu nous faire plaisir en espérant ne pas avor fait trop d'erreurs avec les règles. Le règle de HoN semble une évolution très intéressante avec la combinaison des dés et des cartes. Alors certes, les pions sont en carton mais on est loin des symboles OTAN un peu tristounets ! La table est sympa et rapide à mettre en place, le matériel est de belle qualité. Sans compter, ou plutôt si, que le coût d'une armée est bien moindre qu'avec les figurines. Ce qui va permettre de tester pas mal de listes. Pour finir, les Devil Pig prennent en compte et fédèrent sur leur site la communauté qui se développe autour du jeu et ils ont pas mal de projets pour leur système. HoN semble donc promis à un avenir prometteur ! Vendredi on monte à 300 points …




samedi 12 juillet 2014

Still alive !



Même si ce blog est moribond, il n'en va de même des membres du club ! Ils continuent à jouer dans la torpeur estivale. Aussi, on le rappelle, n'hésitez pas à visiter le forum du club et les pages de nos bloggeurs maison pour avoir des nouvelles plus régulières.

Après une longue absence, j'ai d'ailleurs eu le plaisir de rencontrer de nouvelles têtes et de constater quelques petits changements. 
 

Il fut un temps où Flames of War, Tactique et DBM étaient les règles les plus pratiquées. Aujourd'hui, les deux premiers sont en perte de vitesse. Si DBM garde son groupe d'irréductibles, rejoints par quelques jeunes recrues, la pratique des jeux reprenant le système "command & color"de Richard Borg s'est développée. Ce soir Fifi et Paolo se sont affrontés dans plusieurs parties de Battlelore, version médiévale.


JTI ce n'est pas que de l'historique. La règle Warmachine et Hordes est en train de rejoindre Blood Bowl au firmanent des règles fantastiques jouées au club. Ce soir, deux tables bien chargées de factions Cygmar, Orboros et autres Protectorat de Menoth. 
        






Retour à l'histoire mais dans sa version hollywoodienne et qui plus est sans figurines ; avec Baz, j'ai pu testé le jeu Heroes Of Normandie. On vous en parlera dans la rubrique CR du forum mais on a vraiment apprécié et on devrait vite remettre ça !

Derniers changements de taille, une nouvelle pizzeria a ouvert à côté du club et nous avons une nouvelle armoire !

lundi 3 mars 2014

Le Festival International des Jeux de Cannes 2014 !

C'est déjà fini ! Premier grand rendez-vous de l'année pour les JTISTES !

Mais où est Francky ?
Vendredi nous avons animé deux tables sur l'espace des associations du GRAAL.
Une première table de Bolt Action pour des parties démos entre les paras italiens Vaik et les goumiers d'Olivier.








Une seconde table dédiée aux tests de la règle navale maison de JBV : Voiles en feu.

 

 



Samedi, mise en place d'une table Tactique géante : plus de 750 figurines pour reconstituer la bataille de Leipzig. Une victoire française d'un cheveu mais aussi un grand succès d'estime auprès d'un public cannois toujours aussi nombreux.





André, le maître d’œuvre de la reconstitution



Trois hommes, quatre stratégies




C'est bon ! On a retrouvé Francky !
 En complément, une petite table Seconde Guerre mondiale avec des figurines 15 mm pour une transposition de la règle Tank On Tank.

 

Dimanche, on remonte encore plus loin dans la temps avec la règle antique médiévale  
De Bellis Multitudinis :

Trois hommes ... prêts à en découdre

Vue aérienne du champ de bataille antique


 

L'armée de Krys, en route pour la victoire



Pour des infos sur Bolt Action :


Pour des infos sur l"antique DBA, petite soeur de DBM : 

Pour des infos sur Tank On Tank : 


Pour ceux qui ne connaîtraient pas encore Tactique :


 Merci à François du stand voisin de la société Plateaux de Jeux qui nous a prêté deux superbes terrains hexagonés, pour les parties de naval et de Tank On Tank.
http://www.plateauxdejeux.com/

Les amateurs ont aussi apprécié leurs terrains pour X-Wings :



Le bureau de JTI adresse un grand merci à 
 celles et ceux qui ont permis la participation de notre association au FIJ 2014, un grand merci à celles et ceux qui nous ont rendu visite.  A l'an prochain !