Fin du premier tour : les Romains ont enfoncé le flanc droit Carthaginois
Dany nous a proposé une initiation à Command & Color Ancient. Il s'agissait de reconstituer un affrontement entre Carthaginois et Romains. Pour des raisons esthétiques, Dany a remplacé les cubes de bois du jeu original par des socles de figs. Pour des raisons pratiques, les figs de Gaulois du club ont remplacé les Carthaginois sur la table. Un plateau à hex de Mémoire 44 a servi de champ de bataille. Pour des raisons tactiques, et malgré les conseils avisés de Denis, les Gallo-carthaginois de Dany ont écrasé mes Romains (7 bannières à 3).
J'ai donc découvert le système C&CA, en grand fan de Tactique, je n'ai pas été trop dépaysé (les hex, les dés avec les symboles pour résoudre les tirs et les combats) et grâce aux explications et aides de jeu de Dany (les jetons pour identifier les troupes et les pertes), je suis rentré facilement dans la partie.
Le fait de jouer des scénars avec déploiement imposé fait gagner du temps et implique de se concentrer sur la gestion des cartes, autre spécificité de la gamme (que l'on retrouve dans Mémoire 44, Battlelore et Bataille de Westeros). Là réside la difficulté du jeu. On ne fait pas tout à fait ce que l'on veut : il faut essayer d'organiser ses tours en fonction des cartes que l'on a en main, en choisissant de défausser la carte la plus adaptée à la situation sur le terrain ; le mieux, évidement, étant d'élaborer une stratégie sur plusieurs tours. Nous avons démarré chacun avec 4 cartes. En tant que romain, j'ai eu un bonus de 2 cartes après ma troisième bannière. L'idéal étant les cartes qui permettent d'activer de nombreuses unités dans les 3 sections du champ de bataille. (Ah! La carte spartacus !).
La gestion des généraux m'a semblé simple et intéressante. Leurs interventions ont été décisives dans notre partie. Du ludique et de l'historique !
J'ai donc découvert le système C&CA, en grand fan de Tactique, je n'ai pas été trop dépaysé (les hex, les dés avec les symboles pour résoudre les tirs et les combats) et grâce aux explications et aides de jeu de Dany (les jetons pour identifier les troupes et les pertes), je suis rentré facilement dans la partie.
Le fait de jouer des scénars avec déploiement imposé fait gagner du temps et implique de se concentrer sur la gestion des cartes, autre spécificité de la gamme (que l'on retrouve dans Mémoire 44, Battlelore et Bataille de Westeros). Là réside la difficulté du jeu. On ne fait pas tout à fait ce que l'on veut : il faut essayer d'organiser ses tours en fonction des cartes que l'on a en main, en choisissant de défausser la carte la plus adaptée à la situation sur le terrain ; le mieux, évidement, étant d'élaborer une stratégie sur plusieurs tours. Nous avons démarré chacun avec 4 cartes. En tant que romain, j'ai eu un bonus de 2 cartes après ma troisième bannière. L'idéal étant les cartes qui permettent d'activer de nombreuses unités dans les 3 sections du champ de bataille. (Ah! La carte spartacus !).
La gestion des généraux m'a semblé simple et intéressante. Leurs interventions ont été décisives dans notre partie. Du ludique et de l'historique !
L'infanterie lourde, soutenu par un général, vient de faire deux pertes supplémentaires à mon infanterie moyenne, déjà à 2 pertes : victoire pour les Gallo-carthaginois :)
Deux points de vue sur la table en fin de partie.
Pour info, après l'appel de V la semaine dernière concernant mes morceaux de cartons, je suis fier de vous montrer mes nouvelles figs de saison :)))
Jé
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire