seuls les joueurs de DBM étaient présents (ainsi que deux spectateurs)
La 1ère table DBM.
Byzantins au fond, face à romains patriciens :
Marcus manoeuvrera l'aile droite romaine,
Nanardus l'aile gauche et le centre.
L'allié arabe des romains tente de s'infiltrer derrière le bois
pour atteindre les bagages byzantins.
Mais attention,
le bois en question est occupé...
Un mauvais choix du
byzantin
qui avance ses varègues en 1ère ligne
(des vikings constituant la garde personnelle des
empereurs byzantins)
alors que l'armée romaine fourmille de "chevaliers"
et de légionnaires aptes à les contrer.
Cavaliers et archers,
les deux troupes de base du byzantin.
Le flanc droit.
Verrouillé pas les auxiliaires romains
occupant un bois.
Au centre,
les légions foncent en direction des archers
byzantins.
Couverts par leurs camarades,
le second groupe d'auxiliaires romains
traverse la plaine
pour attaquer le bois situé devant les bagages
byzantins.
La mêlée au centre de la table.
La tentative d'infiltration de l'allié arabe
est contrée par le byzantin
mais aura bien distrait le commandement
qui aura dû délaisser l'action principale au
centre.
Par contre,
l'attaque du bois est un succès,
les auxiliaires romains vont bientôt faire le vide.
Il y a le feu !
Le centre byzantin est en train de craquer !
Les romains vainqueurs s'apprêtent à piller
les charmants bagages byzantins ( Miam, miam ! ;-).
C'est terminé, ROMA VICTOR !
(encore une fois)
La compagnie de l'anneau,
de passage au club,
étudie avec attention le champ de bataille
de la 2ème table DBM.
(Je vous laisse reconnaître les personnages présents.)
Le plan de Jeff le Grand
est assez simple :
il concentre ses troupes de choc sur son aile droite
et s'appuie sur les terrains présents au centre
pour contenir l'attaque des Abassides
avec ses autres troupes.
Qu'ils y viennent !
Jeff le grand en personne
conduit ses troupes vers la victoire.
Pendant ce temps,
Parménion a fait son boulot
et a laissé à son chef le temps de faire la
décision.
Le général vainqueur
affiche modestement sa réussite,
tandis que le sultan abasside
semble prendre sa défaite avec philosophie.
Nanardus
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