dimanche 16 décembre 2012

Wagram à Nice et c'est pas dans le métro!!!


Une partie de Tactique à 4, Olivier et Gérard contre André et moi, match retour de Wagram. Un très grand (et très long) match. A la fin, il y avait plus de figurines dans la zone des pertes que sur la table.
Victoire des Autrichiens (Olivier et Gérard) par 10 points à 8.

Le dispositif était quasiment identique à celui de la semaine dernière sauf que les autrichiens n'ont pas occupé le village en avant de Wagram.
En revanche, nous avions un plan très différent, mais le problème a été que nous ne y sommes pas tenus. L'idée était d'opposer un flanc refusé face au village devant Wagram et d'user les autrichiens sans engager le
gros de nos troupes.

Mais, comme les autrichiens n'avançaient pas, nous avons commencé à avancer vers le village, si bien que nous nous sommes trouvés étirés sur toute la table, sans pouvoir nous soutenir, et avec les problèmes de
commandement correspondants. A l'aile gauche, Olivier et sa cavalerie tente une première avance sur quelques troupes tentantes d'André. Il se fait renvoyer en arrière avec des pertes. Ensuite, tandis que j'avance lentement mon infanterie à l'aile gauche car j'avais fortement refusé mon front, André attaque à l'aile droite. Il secoue vigoureusement plusieurs unités d'Olivier mais est pris sous les feux croisés de l'artillerie d'olivier et de celle de Gérard, que celui-ci avait envoyé en renfort. Pourtant, en repliant nos unités les plus exposées et avec l'appui de l'artillerie d'élite installée au centre, il suffisait d'attendre.

Mais André ne sait pas attendre ! Comme il voit une unité de grenadiers à sa portée et déjà entamée, il fait charger sa cavalerie. Les grenadiers esquivent et les artilleries déciment les cuirassiers.
Olivier tente une avance de son infanterie, arrêtée par l'artillerie d'André et les deux camps exsangues se retirent chacun chez soi.

C'est donc sur l'autre flanc que la partie va se jouer. J'ai avancé lentement et pris le village ainsi que le bois. Une artillerie de Gérard me bloque le débouché. J'ai avancé mon artillerie. Gérard envoie sa cavalerie qui se retrouve dans la rivière. Je la contre avec une charge de la mienne, mais, à nouveau, il esquive et les canons me tirent à mitraille. Il n'y a pas d'autre solution que d'y aller à fond. Une dernière charge va emporter l’artillerie ennemie ? J'ai 2 dés, il suffit d'un canon ou d'un avantage tactique. Raté ! Mes carabiniers attaquent l'infanterie dans la rivière. Il y a encore une minuscule chance : si je le détruit et que je peux poursuivre, je puis taper l'artillerie. Il y a un officier avec l'unité. Il suffit de le jouer pour retraiter. Les
canons vont achever le travail. Mais Gérard l'utilise pour faire une embuscade. Il lance 2 dés et fait un cavalier. Le cuirassier chute et donne la victoire aux autrichiens.

Quelle partie ! Nous avons terminé à 1h30 !


:'(

JB

Suite à JB et son excellent Compte rendu, j'ajoute que nous avons échangé sur la bataille par courriel et nous ne sommes pas d'accord sur la stratégie à suivre.
En espérant que je jouerai français la fois prochaine.
A+




G

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