Samedi 4 juin, deux des membres du club assuraient une présence à Antibes
lors de la journée organisée par les Trolls
( j'ajouterai leur compte-rendu quand ils me l'auront transmis).
Sinon le vendredi soir on pouvait trouver 3 tables au club :
Un petit Flames Of War des familles.
Un petit résumé ici : http://vps65158.dedimax.com/JTI/viewtopic.php?f=17&t=658&p=5388#p5388
Du Napo en 15 mm.
Du DBM en 28mm.
Ici les généraux romains Marcus et Nikolus
concentrés sur les actions de leur aile droite,
ils s'inquiètent à juste titre pour leur cavalerie
(point faible traditionnel des armées romaines).
Leur adversaire :
le pharaon Fredses II
qui commandait pour la première fois l'armée égyptienne
(secondé par son général Nanardamon).
Vue de l'aile droite égyptienne
(sous les ordres de Nanardamon)
où les chars rapides cribleront de flèches les légionnaires
et finiront par les mettre en déroute,
pour ensuite se rabattre sur le centre romain.
Vue du centre égyptien (une zone de dunes de sable)
où les auxiliaires romains prendront l'avantage
mais trop lentement pour éviter la défaite de leur armée...
L'aile gauche égyptienne,
commandée pas Fredses II en personne,
qui affrontait les cavaliers romains et sarmates (alliés des romains).
C'est ici que la bataille se décidera.
La bataille DBM en résumé :
L'armée romaine ouvre les hostilités en lançant une grande offensive sur l'aile droite égyptienne
(Auxiliaires encadrés par des légionnaires sur leurs deux côtés).
Le pharaon Fredses II, sentant la faiblesse de la cavalerie romaine face à son aile gauche,
choisit de l'agresser avec son corps le plus puissant
qu'il avait eu la bonne idée de placer là au déploiement.
Il confiera la tâche, moins prestigieuse mais cependant importante,
de défendre face à la puissante infanterie romaine
à son vieux général Nanardamon.
Celui-ci tiendra bon,
parvenant même à percer les lignes romaines sur l'extrême bord du champ de bataille
(la rive du Nil bien sûr !).
De son côté, Fredses II avance utilisant toute la puissance de tir de ses archers
pour mettre à mal la cavalerie ennemie.
L'offensive finira par payer, malgré de nombreuses pertes dans les unités égyptiennes
qui subiront la fureur des charges désordonnées (mais puissantes!) des cavaliers Sarmates.
On raconte que le pharaon aurait été très choqué par ces pertes
auxquelles il ne semblait pas s'attendre,
persuadé de la supériorité de ses unités bien structurées et entraînées,
surtout face à des troupes si peu organisées...
La guerre n'est pas toujours aussi propre que dans les récits de batailles
que l'on peut lire sur les papyrus, il venait d'en faire l'amère découverte. ;-)
Nanardamon
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