dimanche 28 août 2016

JTI n'est pas en vacances !

Hier soir, au club, 2 tables.

On a vu passer Franck et Valentin. Plaisir.

Sur la table FoW, les allemands d'Olivier ont écœuré les russes de Gégé
par une contre-attaque désespérée... et victorieuse.





Sur la table C&C Napo, j'étais opposé à Paolo sur un scénario français
contre Autrichiens, où les français défendent un pont par lequel
arrivent des renforts. Dans la première partie, je jouais français. J'ai
pu faire entrer beaucoup de renforts et user à petits coups
l'autrichien. Victoire 6 à 3 après avoir été mené 2 à 0. Dans le match
retour, j'ai par deux fois encerclé des unités françaises un peu
avancées, dont une avec un général. J'ai réduit les unités françaises
peu à peu et je lance la carte "leadership" où deux unités s'avancent et
tirent sur des unités françaises réduites. Les 2 sont détruites me
donnant la victoire 6 à 2.




 J'ai eu de la chance aux dés, moyennement aux cartes, mais surtout Paolo
n'a pas eu les dés pour lui. Il a été un peu dégouté. Ça ira mieux la
prochaine fois.

:-)

JB

 La table FOW.

 idem


 Gros plan sur quelques figurines Flames of War.

Visiteur en vadrouille.

samedi 20 août 2016

Vendredi 19 août (out ?) au club




 Ce soir, nous n'étions que 2 au club, Paolo et moi.

Il est de plus en plus difficile de circuler dans le quartier et de
stationner dans l'impasse...

Nous devions jouer Command and colors Napo, mais, à peine la table
installée, Paolo s'est aperçu qu'il avait oublié les figurines. Nous
nous sommes donc rabattus sur Command and colors anciens.

Le scénario choisi "Foragging party" semblait prometteur. J'ai attaqué
la première partie avec les bretons. Résultat : victoire romaine 6 à 1.
Pour la bataille retour, Paolo a pris les bretons et a commencé la
partie d'une façon intéressante. Résultat : victoire romaine 6 à 1.

Alors, si pour la première partie, je n'ai eu des cartes quasiment que
pour le milieu, pour la deuxième, Paolo n'a rien eu à gauche... et donc
plus d'1/3 de l'armée bretonne est restée l'arme au pied. Si pour la
première j'ai eu des dés catastrophique, pour la deuxième j'ai eu des
dés trop bons, avec 2 strikes et 3 spears...

Au final, un match nul mais une belle soirée.

:-)

JB


lundi 15 août 2016

J'adore qu'un plan se déroule sans accroc ! :-) (L'agence tous risques, épisodes 1, 2, 4, 5, 6, 9, 11, 12, 13, 14, ...etc...)

Une seule table au club ce vendredi,
tous les joueurs de Napo, saga et autres ayant délaissé le club,
André nous a rejoint sur notre table DBM :

Macédoniens contre Assyriens


 Jeff le Grand et Niko
lors des premiers mouvements de leurs troupes
(on remarque que les deux généraux 
n'ont pas l'air de partager le même optimisme...).

 André en place pour son initiation.
Notez que le cancre de la semaine précédente est encore présent
mais qu'il n'est plus à côté du radiateur !
Cependant il a  gardé sa casquette
et dissimule derrière son dos une boisson suspecte...

 La phalange placée sur le côté gauche de la colline escarpée
se précipite vers le centre pour participer à l'affrontement.

 Face à elle, en effet, 
les assyriens n'ont laissé que quelques troupes légères

car ils ont décidé d'opérer un changement d'aile
pour leurs 2 puissantes unités de cavalerie et charrerie.

Le plan des assyriens est simple :
dans la mesure où ils ne peuvent espérer rivaliser
avec l'infanterie des macédoniens,
ils leur faut provoquer un affrontement de troupes montées,
 où ils ont un avantage évident, 
en essayant d'occuper la phalange de leurs adversaires 
avec leurs autres troupes.

  Au centre,
les auxiliaires thraces des macédoniens
occupent la colline escarpée.

 Sur la droite,
les unités de cavalerie thessalienne 
et les compagnons à cheval
s'avancent sans se douter du danger (?)
vers la puissante cavalerie assyrienne.



 Leur flanc n'étant tenu 
que par 2 unités de cavalerie légère
alors que l'allié scythe des assyriens
(au premier plan)
se frotte déjà les mains
à l'idée de ce combat en net avantage numérique
dans un grand espace dégagé !


 Une vue d'ensemble 
de ce qui se déroule sur la moitié droite de la table.

Les assyriens sont satisfaits,
leur plan est en train de se réaliser comme prévu ! :-)
La formation d'André a de grandes chances 
de débuter par une victoire écrasante.

 Sur la droite,
on aperçoit les lanciers assyriens
qui se déploient en échelon
pour encaisser le choc avec la phalange 
en évitant, si possible,
de se faire déborder par la gauche.

 Les troupes montées assyriennes 
achèvent leur ambitieux redéploiement
(changement d'aile pour 2 corps !).

 Le général en chef assyrien, confiant,
pousse ses troupes à pied en avant 
pour appuyer l'attaque imminente de la cavalerie.

 Tout est en place

 en face aussi...

 Le "No man's land"
où le choc qui décidera de la victoire 
aura lieu dans quelques instants.

 Au centre,
la phalange a enfin engagé l'infanterie lourde assyrienne
mais n'a pas encore réussi à la mettre en déroute...

 Par contre,
sur l'aile droite,
la cavalerie assyrienne a logiquement pris le dessus 
sur son homologue macédonienne.

Sur la gauche de l'image,
le général en chef fait face à un général macédonien
qu'il va bientôt écraser sous les roues de son char
provoquant la démoralisation
de l'armée macédonienne !

LES ASSYRIENS SONT VAINQUEURS !

 Les choses étaient de toute manière
mal engagées.
Même si le célèbre "psiloï courageux"
(déjà remarqué lors de la bataille précédente)
était encore présent 
pour protéger les bagages de l'armée
de l'envie de pillage des cavaliers scythes !

La fin de la bataille 
prise par "aigle drone"
(celui-ci devait sauter de joie
ce qui explique la mauvaise qualité du cliché ;-) ).

Une partie sympathique où tout le monde aura des leçons à retenir.

Nanardus

mercredi 10 août 2016

Choc à l'ancienne chez JTI


Bonjour.

Vendredi nous avons eu 3 tables et les DBMistes étaient en majorité, 2
tables. Sur l'une les romains tardifs de Nanardus auraient transformé les
assyriens de Marco en chair à pâté tandis que sur l'autre, le combat a
longtemps balancé avant que les romains de Nico ne l'emportent de justesse.

Sur l'autre table, j'affrontais Paolo en un combat étrange de SAGA :
j'avais une armée toute d'infanterie, les Rous (ou Rus païens, slaves
dirigés par les varègues qui ont fondé Kiev et les autres grandes cités
russes) contre des sauvages du nord de l'Angleterre et du sud de
l'Ecosse, entièrement à cheval.

Professeur Simon
et ses élèves attentifs
( notez le cancre près du radiateur 
qui a gardé sa casquette durant le cours ).


La partie a un peu traîné : après un premier choc où Paolo perdit une
unité de guerriers lancés contre mes levées, j'avançais lentement en
subissant le harcèlement des cavaliers. Je lançais une unité de gardes à
l'attaque, qui revint en laissant la moitié de ses effectifs sur le
terrain, puis Paolo lança une grande attaque, qui s'arrêta sur mes
troupes bien formées. Ma levée était diminuée de moitié et mes gardes
entamés à un seul mais la contre attaque fut dévastatrice : tandis
qu'une unité de guerriers sortis d'un bâtiment mettaient à mal une unité
de guerriers, son général trop avancé fut la cible du mien, accompagné
de sa garde. En fait, je le dois à l'aide de Simon qui me donna cette
précision car je ne connaissais guère les règles, et aussi au fait qu'il
ne restait à Paolo qu'un tour de jeu contre 2 pour moi.

La chute du général de Paolo sonna le glas de son armée. Il tenta bien
une attaque en force contre ma levée qui fut vaporisée mais la charge de
mon général et de sa garde suffit à renvoyer ces kamikazes ad patres,
sans même avoir besoin des guerriers encore disponibles qui finirent une
autre unité qui passait pas loin.

Au total un bel affrontement, qui prit du temps du fait de mon
inexpérience. Cependant, je ne pense pas que je jouerais souvent Saga
sauf à l'occasion. Mais c'est plaisant.


JB

1ère table DBM : Assyriens vs Romains Patriciens ( fraîchement sortis des ateliers de peinture...)

 Vue d'ensemble

 Auxiliaires réguliers et barbares intégrés à l'empire romain.
Nous verrons que ceux-ci sont très motivés pour le défendre !


 Le général en chef romain (à droite)

 et son allié arabe
vont mettre en pièces l'allié scythe des assyriens
imprudemment engagé sur l'aile gauche.
Les assyriens, habitués à utiliser des troupes de choc
auraient dû se souvenir que les très rapides cavaliers légers
ne sont pas à leur aise dans ce rôle et auraient plutôt eu intérêt
à les laisser se replier tout en restant menaçants...

 Centre gauche,
les chars assyriens lourds
avancent à la rencontre des chevaliers fast barbares,
ils ne réussiront pas à faire peur à ces rudes combattants
qui encaisseront leur charge.

 Centre droit :
l'infanterie lourde et les cavaliers assyriens
foncent vers les barbares et les légionnaires
en sous-estimant la puissance de choc de ces troupes...

 Sur l'aile droite,
les auxiliaires romains (2 fois plus nombreux)
attaqueront (sans succès) leurs équivalents assyriens.

Le déroulement de la bataille en 2 temps :

 Phase 1 :
l'allié scythe vient de disparaître sur la gauche.

 Phase 2 :
les barbares mettent en déroute 
cavalerie et lanciers assyriens
(les "barbus bleus" viennent d'être détruits
et ne sont restés que le temps d'une photo
avant de rejoindre les pertes de l'armée)

Victoire des "romains" !
(les guillemets sont là pour rappeler
que ce sont finalement les cavaliers légers et les barbares à pied
qui ont infligé le plus de pertes aux assyriens...)


2ème table DBM : Alexandre vs romains impériaux.

Jeff le Grand décide de démarrer la partie 
en déployant ses auxiliaires dans la plaine
face aux sarmates qui ne vont pas se priver
de croquer une cible aussi facile !
Le corps le plus léger de l'armée macédonienne
est démoralisé
mais leurs troupes de choc sont intactes
rien n'est encore joué.
L'armée romaine entame ses premiers mouvements
(on peut entendre les cris de joie des sarmates 
qui ont aperçu les auxiliaires face à leur position !)

Le sarmate a fait le vide
mais les troupes légères de Jeff le grand interviennent 
pour tenir le flanc de la phalange.

Les hypaspistes viennent également
bloquer la charge des sarmates victorieux
pour couvrir leurs camarades.

Tandis que la phalange avance inexorablement 
vers les légionnaires,
Jeff le Grand,
évitant de répéter les erreurs des batailles précédentes,
déplace les compagnons face à une cible facile :
la cavalerie romaine
(qui a toujours été leur point faible).

Les compagnons ont fait le job !

Par contre,
la phalange se retrouve en difficulté face aux légions
qui l'ont entraînée dans des combats
désordonnés où elle a fini par voir des intervalles
se créer entre ses blocs de piquiers.
Les manipules de légionnaires,
plus mobiles, s'insèreront dans ces espaces 
pour attaquer les phalangistes sur le flanc.
Les légionnaires vont-ils avoir le privilège
de provoquer la déroute des macédoniens ?
Et bien non !
Car ce sont finalement les auxiliaires romains
(qui n'ont participé à quasiment aucun combat)
qui vont finalement avoir l'honneur 
de démoraliser le corps des compagnons
(et le reste de l'armée avec eux !)
en éliminant difficilement un courageux psiloï
après avoir traversé la grande colline escarpée
et s'être retrouvé à portée des bagages romains !

ROMA VICTOR !!!

Mais les romains étaient à un demi-élément de la démo...

On imagine ce qui aurait pu se passer si les macédoniens 
n'avaient pas fait l'erreur grossière de perdre leurs troupes légères 
dès le début de la bataille...

Niko a bien géré ses légions et son allié sarmate,
Jeff a su utiliser ses réserves d'hypaspistes et de compagnons 
aux bons endroits,
les prochaines batailles risquent de devenir plus techniques. ;-)

Nanardus

mardi 2 août 2016

Jeux Tu Il, le club des commentateurs de la figurine !

Vendredi 29 juillet, 5 joueurs vous racontent leurs parties, 
c'est ça le sud, plus de "tchatche" que d'action si on nous laisse faire !  Nanardus

4 tables au club ce soir mais 3 sur du Napo.
Seul Nanardus présentait de l'antique avec DBM.
Les macédoniens se sont écroulés sous les coups des carthaginois de Nanardos le grand.

JB

 André et Philippe faisaient du C&C Napo en 28mm sur la bataille de 4
bras. A l'aller, André a gagné avec les français 9 à 8 et au retour avec
les anglais 9 à 5.       JB

   Un petit résumé par Philippe :
"De notre côté, très bon choix de scénario d'André. On a joué 4
Bras (double ration de chocolat ).
Je joue anglais la première partie et gère bien le début de round
mais Dédé n'a pas dit son dernier mot. Il gagne 9 bannières à 8 (un
vrai carnage).
Deuxième partie, je joue français et j'ai un coup de mou, Dédé
l'emporte 9 à 6. Je regrette d'avoir mal joué ce deuxième round car
le scénario offre de très belles possibilités tactiques.
Indubitablement, la bataille se joue au centre mais il faut parvenir au
statu quo sur les ailes dans chaque camp (et cela peut-être très
tendu pour l'anglais, principalement sur son aile droite).
Je suis impatient de remettre ça. Quand tu veux Dédé...

PS : les figurines, c'est joli mais ça n'accélère pas le truc "


 Olivier et moi-même nous sommes affrontés en Tactique niveau
bataille impériale. Il jouait les britanniques tandis que je jouais des
austro-bavarois.

Le jeu a été particulier car il s'est pour la plupart
déroulé dans le quart droit (pour moi) de la table. Au départ, j'avais
placé 8 de mes 18 infanteries à droite et le reste à gauche et au
centre, avec l'idée de faire effort sur ma gauche en ramenant les
infanteries du centre et la cavalerie autrichienne sur la gauche. Mais,
comme Olivier amenait des troupes de son centre vers sa droite, j'ai
changé mon fusil d'épaule, recentré ma cavalerie et balancé 10 unités
d'infanterie contre la gauche d'Olivier. Ce ne fut pas un succès. Si je
ne perdit qu'une unité, 4 autres étaient entamées et, les dés ne m'étant
pas favorables, une seule unité anglaise était réduite à 1 et d'ailleurs
promptement ralliée. Je me repliais donc et recommençais à progresser à
gauche. Alors Olivier fit avancer ses troupes de sa gauche. Je relançais
mes unités de droite, avec mon infanterie, cette fois soutenue par la
cavalerie bavaroise et les grenadiers autrichiens. Ce fut un rude combat
mais les dés avaient changé de sens et l'arrivée des dragons
autrichiens, qui résistèrent en ne perdant que 2 plaquettes à 3 attaques
de la Garde anglaise, me permit de faire une trouée dans les rangs
anglais qui se conclut par la prise d'une batterie d'artillerie par les
grenadiers.

Nous étions alors 8 puis rapidement 9 à 5. Mais sur ma droite mon
infanterie se réduisait à 1 unité de 2 plaquettes et 4 d'une seule
plaquette alors que 4 unités entières arrivaient dont 1 de la Garde,
plus 2 unités de cavalerie lourde. Je repliais donc le tout vers mes
lignes, complétais l'unité de 2 plaquettes à 3 et fit monter ma deuxième
unité de grenadiers autrichiens, ainsi que les cuirassiers et
chevau-légers autrichiens. Mais il ne s'avança pas, attendant sans doute
le complément de ses renforts car au même moment il repliait son aile
droite, face à laquelle je pensais m'engager maintenant. Je ne pouvais
pas prendre le risque de le voir monter une attaque de grand style
contre mon aile droite affaiblie. C'est pourquoi je jouais le tout pour
le tout et chargeais avec mes deux unités restantes d'infanterie, dont
une seule put combattre grâce à une marche forcée, et les cuirassiers.
Il me suffisait de lui détruire une unité. Avec mes grenadiers appuyés
par la présence des cuirassiers, je lançais 5 dés. Les cuirassiers
n'eurent même pas à s'engager car je fis les 3 pertes suffisantes pour
détruire le bataillon britannique et l'emporter 10 à 5.

Ce fut une belle partie. Les anglais sont toujours aussi difficiles à
prendre quelque soit le terrain et la cavalerie autrichienne est solide.
Mais les dés ont vraiment déserté Olivier au moment critique tandis que
mon mélange de cavalerie et d'infanterie a fait des ravages.

Merci à Olivier pour sa bonne humeur et son sens tactique.

:-)

JB

Le petit commentaire d'Olivier:
"Salut
Après réflexion je dirais que les dés n’expliquent pas tout, j’ai fait beaucoup d’erreurs.
Pas de réelle stratégie, 
je n’ai fait que m’adapter à tes actions ce qui au bout d’un moment montre ses limites,
et surtout des mouvements de troupes inadaptés, 
donc de la perte de temps dans l’organisation.

En d’autres termes, une victoire bien méritée
Je demande ma revanche -)))

O"

Paolo et Simon faisaient aussi du C&C Napo mais en 15mm sur une bataille
en Espagne. Je n'ai vu que la deuxième partie où Simon avec les français
a gagné 6 à 4. Il me semble qu'à l'aller Paolo avait gagné 6 à 5.      JB

Droit de réponse de Simon :
"Je conteste le récit avant que l'Histoire ne l'entérine ! A l'aller
Paolo avait perdu 5 à 6.

Mais sinon ce scénario était particulièrement intéressant, j'ai
trouvé. L'anglais dispose d'un déploiement défensif intéressant,
avec une petite réserve de Portugais pour combler les fissures du mur
(ahah) face aux impacts des Français. Français qui, s'ils sont dans
une situation tactique plus compliquée (moins de cartes, donc moins
d'options), choisissent où l'action de passera et donnent le rythme de
la partie. En effet le terrain est tel qu'il leur est aisé de refuser
une escarmouche dans une des sections s'ils ne veulent pas s'y battre.

Bref, ça m'a paru assez équilibré, et les deux victoires sur le fil
sont là pour me conforter dans cette idée ; Paolo n'est pas passé
loin de gagner et c'était tendu du début à la fin !"

La bataille DBM (Alexandre face à Carthage) :

Jeff le Grand observe le champ de bataille 
et les deux armées déployées.

Sur la gauche,
les troupes légères (Auxiliaires et "psiloïs")
et la cavalerie thessalienne.

Au centre,
la phalange attend tranquillement 
à l'ombre des arbres d'un verger
que les hostilités démarrent.

A droite,
les compagnons et quelques troupes légères
occupent une grande zone dégagée.

Pour Carthage maintenant :
à gauche, du léger aussi, 
mais avec une réserve de cavalerie 
bien plus imposante que celle des macédoniens.

Au centre,
une mince ligne de lanciers
placée en avant de la réserve de guerriers gaulois
(sous les ordres directs de Nanardos
qui passera la durée complète de la bataille 
à leur interdire de se jeter en avant).

Sur la droite, (face aux compagnons)
une ligne de lanciers
derrière laquelle se cachent les auxiliaires espagnols
et une unité d'éléphants africains 
(arme idéale pour fracasser du compagnon Kn(F) ).

Les premiers mouvements :
les compagnons cherchent désespérément une cible...

mais il n'y a rien de facile à croquer dans le coin...

La cavalerie Thessalienne s'avance.

Les carthaginois réussissent à intercepter 
la colonne des compagnons
avec leurs éléphants et quelques tirailleurs...
ça ne sent pas bon pour les macédoniens...
Leur général sera détruit lors du combat ci-dessus,
entraînant la démoralisation du corps.

A gauche,
la cavalerie légère numide des carthaginois
occupe les cavaliers thessaliens...

pendant longtemps, longtemps...

Assez longtemps
pour que la réserve de cavalerie carthaginoise
(espagnols et gaulois)
puisse intercepter les auxiliaires thraces à découvert !
Vous n'en verrez presque aucun sur l'image
car ils ont été balayés en un tour de jeu !
(notez le vide devant les cavaliers)
Partis sans laisser de thraces les auxiliaires ??? ;-) .

Au centre,
le général en chef macédonien
tente difficilement de couvrir, à lui seul,
l'avancée de sa phalange
( le corps des compagnons ayant abandonné le champ de bataille).

Les piquiers percutent enfin les lanciers carthaginois

mais ne parviendront pas à les entamer...

Pendant ce temps,
un général carthaginois pille les bagages macédoniens,
c'en est trop pour le moral des troupes
même si la phalange est intacte,
l'armée entière part en déroute,
 la bataille est perdue pour Jeff le Grand.

Pour finir "en beauté"
(autant qu'une crêpe blonde puisse l'être ;-) ),
Alexandre/Jeff se lance contre les éléphants
qui ont tué tant de ses fidèles camarades (compagnons ?).

Ce sera le dernier combat de la bataille, les carthaginois sont vainqueurs
mais l'histoire retiendra surtout la fin glorieuse du roi macédonien fauché en pleine jeunesse.

Nanardos